CM d’histoire histoire de la société française des année 1830-1930
Par Orhan • 4 Novembre 2018 • 4 630 Mots (19 Pages) • 472 Vues
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Ex : Doc10 et 11
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En 1934, en France il y ‘a moins de gens vivant, il a un déficit de naissance.
Une croissance démographique réel mais faible comparée au reste de l’Europe qui s’explique par un accroissement naturel faible et un vieillissement précoce de la population.
- La fin de l’ancien régime et le recul de la mort
Dans l’ancien régime le tôt de mortalité n’est pas élevé, car il y a des crises de mortalité et pas de marché national unifié.
Il y’a aussi des guerres. Dans l’ancien régime il y a une surmortalité infantile (nourrissant et enfant de moins de 1) et la mortalité juvénile. On considère qu’au 18e il faut 4 naissance pour produire 2 adultes (1 qui meurt à l’âge de 1 ans et 1 a l’âge de 5 ans).
Au cours de la période la mortalité va diminuer en Europe et s’accélère en France dans les années 1880 (voir doc 4). Il y a une grande différence du taux de mortalité entre la ville et la compagne c’est à dire on a une surmortalité urbaine en France, il y a des maladies comme la tuberculose et le collera.
Le taux de mortalité augmente par les compagnes de guerre comme en (1870-1771).
Le collera est une maladie qui a des effets terribles, la première grande épidémie qui se répond depuis la Russie en 1832 en France il y a 20 mille mort à paris et 100 mille pour toute la France (mort de casimir Perrin premier ministre).
En 1847-49 : autre épidémie, 1854-57 : 157 mille mort en France de collera. L’hygiène publique progresse et la propagation du collera recule.
La tuberculose est une autre maladie mortelle, c’est la pénicilline après la 2nd guerre mondiale qui va arriver au bout.
La syphilis, est l’autre maladie de l’ancien régime, et à partir de la révolution cela va se répondre dans la population, et cette maladie a un aspect psychiatrique.
Le recul de la mortalité intervient dans les années 1880 par les progrès de la médecine et les mesures d’hygiène.
La théorie des miasmes 1,4 millions de mort, considère que la puanteur est signée de malade, pasteur qui est au départ un chimiste va découvrir le microbe et la théorie de la contagion apparaît et en pense à la vaccination.
Pasteur invente aussi la technique de l’asepsie (bouillir de l’eau pour tuer les microbes).
L’évolution pastorienne en distingue la puanteur de la maladie, la contagion, la vaccination… et cette révolution en France se traduit par un développement de service sanitaire et l’école diffuse la notion d’hygiène et dans la 3e république est l’émergence de l’hygiène.
En 1893 premier prise en charge des pauvre et 1902 la vaccination contre la variole obligatoire.
Résumé du cours 20 sep :
La France à une croisse démographique réel au 19e comme l’ensemble des autres pays européen mais cette croissance est en avance comparé aux autres pays de l’UE. En exemple la population française est multiplié par 1,4 alors que la population anglaise a été multiplié par 4. Cela explique la régression de la France dans le plan démographique en Europe.
Facteur d’explication de cette croissance : mortalité et natalité
Mortalité : il y a une forte mortalité enfantine, pendant les croisades. Mais dans les année 1880 (en particulier pour la mortalité enfantine) ce taux de mortalité diminue par les évolutions de l’hygiène ‘séparation des eaux usés des eaux propres) et de la médecine (révolution pastorienne « découverte du microbe » dans la vaccination et la pasteurisation des matériaux médicaux).
Conséquence de la transition démo c’est le vieillissement de la population.
La natalité en France diminue avec un siècle d’avance
27 Sep 17
- Le malthusianisme français
- La baisse de la natalité
Voir le doc 4
Le taux de natalité est le nombre de naissance sur 1000 habitant. La natalité dépend de l’âge de la population (le vieillissement de la population) et le raciaux entre le nombre d’homme et de femme, c’est à dit pas il ne renseigne par vraiment sur la fécondité réel d’un pays.
Il passe de 35 pur 1000 à 15 pour 1000 avant la 1ère guerre mondiale avant d’augmenter pendant le baby-boom de 20 pour mille. Le temps de fécondité : mesure la propension des femmes en âge de procréé. L’indice de fécondité tient compte de la fécondité globale de la France.
La France au milieu du 18e il y a une tendance à la diminution de la fécondité c’est à dire il y a une restriction du nombre de naissance (la fécondité à diminuer de 57% entre 1790 et 1914) cela se traduit par une diminution importante de nombre d’enfant par femme au milieu du 19e. mais entre 1850 et 1880 en est à 3,5 d’enfant par femme.
Pendant l’entre deux guerre la France n’assure plus le renouvellement des génération (en 1935 le nombre de naissance est inférieur au nombre de mort). Ce qui assure l’augmentation de la population c’est l’immigration.
Avec un siècle d’avance des autres pays européen, la France à une diminution de naissance dans es famille, à de la 2nd guerre mondiale les familles nombreuses sont très rare malgré les différence sociale, régional et les structures familiales.
Dans les autres pays européens d’en l’Angleterre et la suède le taux de natalité augmente.
- La natalité devient un enjeu politique
Au début, cela n’inquiète personne car les bourgeois pensent que l’enrichissement ne va pas de pair avec des familles nombreuses. Malthus explique qu’il faut restreindre les naissances.
La prise de conscience du déclin de la natalité est tardive en 1870, il y a un mouvement qui se débloque en faveur de la population et après la 1ère Guerre mondial avec 1,305 million mort le gouvernement incite les enfants
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