THORGGIS FILS DE VIKINGS
Par Ramy • 12 Février 2018 • 1 026 Mots (5 Pages) • 506 Vues
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Je sortie de la tour a la suite de l'animal, laissant le cadavre du nain baigner dans son sang. La femme à la chevelure de feu nous attendait au pieds de la montagne. Ce précipitant sur moi elle m'arrachât le coffre de mains. Quelle ne fut pas ma surprise quand je la vi en sortir les deux anneaux de Freyr. Alors je compris que sont but était le même que le mien, tuer Gandalf le fou.
CHAPITRE 3
Une fois l'an, la fête du solstice d'hiver rassemble les peuples de la mer en de joyeuses ripailles. Le roi Gandalf et ses vikings du Nord ne sont pas les moins enthousiastes à la célébrer. Le clous de cette fête est le domptage d'un cheval sauvage. Les volontaires enfourchent une monture sauvage et essayent de tenir sur son dos jusqu’à ce que celle-ci soit complètement docile. Si ils échouent, il donnent au rois leurs enjeux, un objets de valeur qu'ils estiment digne de leur souverein.
Déguisé en vieillard, je me présentait à la fête, le pauvre animal du jour était mon étalon que j'étais le seul capable de monter. Quand plus aucuns volontaires nu voulu se risquer sur son dos, je sorti de la foule.
« Roi Gandalf je veux tenter ma chance !
- Ho ! Ho ! Soit le bienvenu vielle homme, mais n'est tu pas un peut trop âgé pour monter à cheval ?
- La règle ne dit elle pas que chacun peut tenter sa chance ? » insistai-je.
« à ta guise et tans pis pour tes vieux os. Mais si tu connais la règle, tu sais aussi qu'en cas d’échecs tu me devras un enjeu.
- Ce bracelet d'or te paraîtra sûrement un enjeux digne de toi roi Gandalf. »
Lui dit-je en brandissant l'un des anneaux de Freyr. Le pauvre fou accepta et rangeant l'anneau dans ma besace je me dirigeait ver mon bel étalon. Les rayons du soleil venait caresser ses flancs luisants de sueur et les reflet de sa robe noir dansaient sur sa croupe. Piaffant, et écumant de colère, il se calma dès que j'approchai ma main de ses naseaux, me reconnaissant immédiatement. Je me hissait sur son dos et lui murmurait des excuse pour le mauvais tour que j'allai lui joué. Prenant un
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