Rupture de la relation de travail
Par Christopher • 15 Octobre 2018 • 695 Mots (3 Pages) • 544 Vues
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Le juge ne doit pas relever un vice de consentement. 3 vices : le dol, l’erreur, et la violence. S’il y a un vice il y aura un licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Procédure : rencontre entre les 2 parties avec conditions d’entretien libres, possibilité d’être assisté.
Droit de rétractation de 15 jours pour les 2 parties. L’employeur doit envoyer le dossier à la DIRECCTE qui a 15 jours pour le valider.
- Rupture atypique du contrat de travail
- La prise d’acte de la rupture du contrat
Le salarié rompt le contrat en raison de faits qu’il reproche à son employeur. Il saisit le juge qui a 4 cas pour valider :
- Discrimination ou harcèlement par l’employeur
- Non paiement du salaire
- Modification du contrat de travail sans l’accord du salarié
- Violence commise à l’encontre du salarié sur le lieu de travail
Si ok requalification en licenciement sans cause, salarié pas obligé de faire le préavis. Si pas ok requalification en démission.
- La résiliation judiciaire du contrat de travail
Le salarié demande au juge cette résiliation car l’employeur manque gravement à ses obligations contractuelles.
Manquements :
- Employeur discrédit son salarié (retire son véhicule de fonction)
- Départ négocié en cas de difficultés économiques
- Dans le cadre d’un accord de gestion prévisionnelle des emplois et compétences (GPEC)
- Dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
- Dans le cas d’un plan de départ volontaire (PDV)
Dans les 3 cas il faut l’accord du salarié libre, il percevra une indemnité de rupture.
- Rupture du contrat de travail pour cas de force majeure
- Force majeure = évènement extérieur de la volonté, évènement imprévisible au moment de la signature, évènement irrésistible au moment de l’exécution. (il faut les 3)
Contrat de travail rompu immédiatement.
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