Le gout сфы

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Les personnes 1 et 3 pensent que les solutions sont issues de sirop différents alors que la personne 2 pense que se sont toutes les même.

Les cobayes on peut souvent penser goûter ce qu'il avait perçu. Pour P1, ils pensaient tous que la solution était à base de sirop de menthe en la voyant alors que en goûtant la solution, tous on pensait boire du sirop de citron. En conclusion de cette expérience, nous pouvons affirmer que la vue influence notre goût.

Les papilles gustatives, situées sur le dos de la langue, ne peuvent répondre qu'à cinq goûts : salé, sucré, amer, acide et l'umami. Pour déterminer l'infinité de saveurs que nous connaissons, c'est l'organe olfactif qui prend le relais. Les odeurs peuvent être transportées par l'air jusqu'à l'organe de perception des odeurs par cette voie, ou directement par les narines lorsqu'on apporte la nourriture à sa bouche. Boucher les narines compromet la circulation de l'air par cette voie et donc empêche la distinction des saveurs autres que les quatre goûts de base.

L'olfaction est un sens primordial pour percevoir le goût. Une odeur est portée par des molécules odorantes, leur solubilité et leur concentration sont importantes identifier et percevoir l'odeur. Toutes les molécules ne sont pas odorantes, la limite au-delà de laquelle la concentration molaire d'une molécules est inodore se trouve vers une masse molaire de 300g.mol-1.

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Exemple de molécule odorante : la molécule de vanilline responsable de l'odeur la vanille.

Après mastication,les aliments sont broyés et chauffés, il libèrent des molécules odorantes qui remontent vers le nez par l’arrière de la bouche. Ce système est appelé la retro-olfaction, elle contribue fortement à l'analyse des nombreux parfums qu'est capable de distinguer le nez grâce à ses cellules olfactives, plus encore que l'inhalation. Cette retro-olfaction représente 80 % du goût. L'air qui contient les molécules odorantes est inspiré et atteint les cils olfactifs dans le mucus et sont envoyés ensuite au cerveau par le nerf olfactif.

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On doit cette découverte aux œnologues qui vers le milieu du XXe siècle ont analysé les unes après les autres toutes les sensations que procure une gorgée de vin. Ils ont ainsi montré que les molécules volatiles exhalées par le vin ou par tout autre aliment stimulent les récepteurs olfactifs par la voie nasale directe et par la voie rétro-nasale lors de la déglutition. Manger enrhumé coupe toute perception du goût car le nez est bouché, vous retrouvez le goût des que celui ci est dégagé.

EXPÉRIENCES !

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