La morale, le devoir, la liberté

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3. Le déterminisme psychique et le déterminisme social

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- Freud : L’Homme est aussi déterminé psychiquement parlant. Ce déterminisme peut être tout à fait positif, notamment grâce au SURMOI (intériorisation des normes sociales) qui limite les désirs et pulsions.

ex : interdit de l’inceste.

= Le déterminisme est fait du surmoi qui représente l’interaction entre l’int et l’ext.

Cette causalité peut être évitée grâce à la psychanalyse, à la volonté et à l’intelligence de l’individu…

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- Marx : Les conditions mat (soc/éco/pol) mènent l’Homme à un certain déterminisme.

Ex :

L’Homme peut sortir du déterminisme social en prenant du recul, en comprenant que l’Homme n’est pas maître de lui-même. La liberté est une conquête permanente, une compréhension, un jugement et une acceptation/rejet des influences qui fondent notre être.

(cf Bourdieu/habitus = langage, loisirs, manière d’agir avec les autres, goûts...)

II. Le libre arbitre et sa critique

A) Le libre arbitre

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- Descartes :

- HOMME = SUBSTANCE MAT+ SUBSTANCE PENSANTE -

- Substance métaphysique = repose sur la toute puissance de la volonté et des choix de la Cs de l’Homme (= liberté)

- L’Homme est esclave quand il n’a pas la capacité de choisir.

- Kant : [pic 8]

- AUTONOMIE/HÉTÉRONOMIE -

= auto ► soi + nomos ► loi/règles : les lois viennent de soi / = hétéro ► autre : règles ext

= LIBERTÉ = SOUMISSION

B) Les critiques de la théorie du libre-arbitre

1) Spinoza

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LA LIBERTÉ EST UNE ILLUSION

- L’Homme ne saisit pas les causes de son déterminisme.

ex : analogie de la pierre, de l’enfant désirant du lait.

Les affects et les pulsions sont prédominants par rapport à la Cs et déterminent les actions de l’Homme; sa condition est donc ambivalente : esclave/libre.