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La machine infernale Acte IV

Par   •  3 Mai 2018  •  768 Mots (4 Pages)  •  950 Vues

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II- L'irone de la scène.

L'apostrophe « zizi » rend le personnage de Tirésias ridicule, ce terme le désacralise.

Dans sa première réplique Jocaste répète trois fois le mot « escaliers » → son accent anormale ironise cette réplique.

C'est elle qui aide Tirésias à monter les marches « prenez-moi les mais. En route ! » → elle le considère comme un enfant.

Ils sont dans le noir « on n'y voit rien » → nuit d'orage, référence aussi a Tirésias qui est aveugle.

Deux énonciation → échange Jocaste/Tirésias, n'y l'un ni l'autre n'ont conscience du destin que porte leurs parole (scène de l'écharpe).

(=> échange spectateur/personnage, informé dés le prologue de ce qu'il va se passer).

Jocaste redevient la reine avec la répétition de « je sens les choses » → la sensibilité de Jocaste nous conduit au pathétique. La didascalie « montre son ventre » est tragique, parce que le ventre est le foyer de la maternité (et nous savons p.52 par rapport au rêve quelle a perdue un enfant)

→ grandiloquent (un geste qui en dit beaucoup).

« je me moque de vos entrailles de poulet » → déshumanisation de Tirésias.

Ici nous de sommes pas en présence de personnage noble mais plus des personnages de comédie

Conclusion :

Jocaste est représentée comme une personne banale sans aucune noblesse, elle ridiculise entièrement Tirésias, son destin est connoter dans cet extrait avec « l'écharpe ». Elle est complètement incapable de déchiffrer le sens de certaines de ses parole qui ont un sens profond. Tirésias et Jocaste sont comme des patins entre les mains des dieux.

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