La femme du boulanger

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Hubert : Je dirais que le personnage que j’aimerais le plus incarner est l’instituteur puisqu’il reste intègre à ses valeurs tout au long du roman en apprenant à s’ouvrir à celles des autres. Je dirais que je veux l’incarner aussi parce que sa mentalité se rapproche beaucoup de la mienne. Personnellement, ce roman m’a laissé plutôt indifférent, je ne l’ai pas trouvé bon mais je ne l’ai pas détesté. En effet, je trouvais que certains passages étaient très bien écrits et me faisaient sentir ce que les personnages ressentaient ce que j’adorais, mais malheureusement je n’ai pas réussi à m’accrocher au reste du roman autant que dans les bouts d’émotions. Je trouvais que l’histoire, bien qu’elle fût très originale, était sans but et qu’elle tournait en rond puisqu’il est invraisemblable que quelqu’un refuse de travailler et donc de punir un village au complet simplement puisqu’il est cocu. Par contre, j’ai trouvé que les dialogues était drôle au bon moment, cela donnait au roman un petit je ne sais quoi qui me plaisait puisque je trouvais que cet humour était si bien dosé qu’il ne banalisait pas ce que les personnages disaient ou qui ne dérogeait pas du sujet vers quelque chose de complètement farfelu. De plus, cet humour rendait le livre moins lourd pour les lecteurs parce que lire des dialogues où l’on n’y retrouve que du drame à chaque fois m’aurait surement enlevé le goût de le lire dès les premières pages. Je trouvais que ce roman était bon mais je ne le conseillerais pas à quelqu’un qui cherche un roman puisque je l’ai trouvé inutile et sans moral.

Adda : Je n’aimerais pas incarner un personnage de la pièce en particulier. Je crois que chacun d’entre eux est parfois égoïste, parfois désespérer, et je n’ai aucune motivation ni envie d’incarner une telle personne. Pour ma part, je n’ai pas particulièrement aimé cette pièce de théâtre. Je pense que le but de cette dernière est purement du divertissement ; car si message il y a, je ne l’ai pas du tout distingué. En ce qui concerne les personnages, je crois qu’il est un peu égoïste du boulanger de mettre en péril le bien-être du village tout entier pour ses problèmes conjugaux. De son côté, Aurélie décide de quitter subitement son mari puis revient sur sa décision et, par la même occasion, joue complètement avec les sentiments du boulanger et mets également en péril le bien-être du village. De plus, les habitants décident d’aller chercher une femme qui est clairement malheureuse au côté de son mari et qui a fait des sacrifices énormes pour le quitter afin de la ramener au village pour qu’elle puisse convaincre son mari de faire du pain à nouveau. J’ignore ce qu’est la morale de l’histoire ; autre qu’on doit prendre en compte l’impact de nos choix sur notre entourage avant de prendre une décision. Bref, je n’ai pas apprécié cette pièce de théâtre.

Léa-Kim : Le personnage de La Femme du boulanger qu’il me plairait d’incarner est sans doute le marquis, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, cet homme aux caractéristiques humoristiques est hors du commun, par ses actions, sa façon de penser et sa liberté. Celui-ci donne l’impression de faire ce qui lui plaît et d’assumer la plupart de ses actions, et cela sans se soucier du regard des autres. Malgré son comportement parfois intense ou même inapproprié dans certaines circonstances, il donne aux gens qui l’entourent un sentiment de confiance. Comme il est facile de le remarquer dans la pièce de théâtre, le marquis est un personnage qui prend les devants, qui s’affirme et qui est un meneur pour tout le village. Incarner un personnage avec autant d’assurance permet probablement à celui qui joue son rôle de prendre exemple sur cette qualité. De plus, c’est en partie grâce à sa prise d’initiative qu’il a été possible pour le boulanger de retrouver sa femme. En bref, le marquis est donc un personnage unique qu’il doit être amusant d’incarner. Selon moi, cette pièce est intéressante par moment. Certains passages, plutôt longs, me semblent inutiles à l’évolution de l’histoire. Cependant, j’aime le fait de retrouver de nombreux personnages avec différentes personnalités hors du commun, puisque cela ajoute beaucoup d’humour au texte. En résumé, La Femme du boulanger est, dans sa majorité, une pièce de théâtre agréable pour ses lecteurs.