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La définition de l'histoire

Par   •  10 Avril 2018  •  1 614 Mots (7 Pages)  •  443 Vues

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→ Puis histoire pour comprendre la chronologie et l’Histoire.

→ À par Commine, les Historiens n’ont pas l’art de la synthèse.

♦ Tournant du XVIe s

→ Époque où se répandent les textes antiques, c’est aussi une période de Guerre européenne.

→ Amène à reconsidérer l’Histoire pour sortir de la naïveté des chroniques.

→ Chez Plutarque on a parfois des antihéros. L’Histoire donne des exemples de bonne choses mais aussi de catastrophe.

→ Retour au défaut de bien écrire et celui des discours (neutralité).

→ Comme le XVIème siècle est celui de la renaissance, des Historien écrivent en Latin (Paul Émile).

→ Certains sont impartial. On a une Histoire rhétorique ou héroïque.

♦ L’érudition est essentiel ;

→ On cesse de travailler à partir de manuscrit. Ils se rendent compte qu’il faut de véritable texte.

→ On ne peut pas faire d’Histoire si on ne garde pas sont esprit critique

→ Étienne Pasquier, Histoire de France, Claude Fauché, L’Antiquité Française est Gauloise jusqu'à Clovis.

→ Jacques Baudin : Une méthode pour une connaissance facile des faits historique

→ Louis Paulinien : Une Histoire des Histoires.

→ On cherche les moteurs de l’Histoire et non plus que les faits.

♦ Les obstacles ;

→ Les littéraires ou les utilisateurs qui ne prennent pas les véritables sources et font de l’Histoire romancer.

→ Le « préjugé utilitaire et moraliste ».

→ Le préjugé apolitique comme Bossuet prétendant donner des faits de l’Histoire universelle.

→ L’Histoire est mise au servie de la religion.

→ L’Histoire mise au service de la philosophie comme Montesquieu pour tirer de l’Histoire des lois et des règles.

→ Nous serions déterminés par ses lois générales.

♦ La période Moderne est essentielle pour arriver à définir l’histoire :

→ On ne cherche plus le meilleur manuscrit mais les plus critiques. Édition des textes ;

→ Fixer la chronologie ; celle de son époque c’est facile mais des faits passé est complexe (pas le même calendrier)

→ Papenwok : l’art de vérifier les dates. On se place dans les recherches.

→ Naissance de la critique des documents. Est-il un faux ? Ou moitié vrai moitié faux ?

→ De re deplomatica

♦ Les conséquences ;

→ Naissance des 1ères éruditions : Académie des belles lettres.

→ Appuyer sur les 1er grands dictionnaires de langues et ceux concernant des rubriques (personnages, notion juridique).

→ Notion d’instrument de travail. L’Histoire à une profondeur qui remplace des faits par des faits Humains.

→ Notion de progression et de décadence.

→ Voltaire moins bon historiens que concepteur de l’histoire ! Il perçoit l’Histoire mais n’applique pas les choses qu’il conçoit. Le contenu de son Histoire est en deçà de ses conseilles.

→ Le Prince de Machiavel montre les ressorts de l’être Humain.

♦ La période contemporaine :

→ L’Histoire devient uns science. C’est une érudition parfaite.

→ Édition All Ranke. Histoire des peuples normands et germaniques

→ L’Histoire n’est plus qu’évènementielle. L’érudition Allemandes est développée.

→ L’école positiviste considère que les faits sont essentielle où l’on tire des certitudes positif et immuable.

→ La science permet de tout résoudre qui rendra inutile toute croyance en une religion.

Le positivisme : ensemble de courant de pensée qui considère que seules l’analyse et la connaissance des faits vérifiés par l’expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde.

→ La certitude en est fournie exclusivement par l’expérience scientifique.

→ Il rejette l’introspection, l’intuition et toute approche métaphysique.

→ Seignobos : Histoire cadré une fois pour toute. Ceci est relis en cause, il faut réécrire l’Histoire.

→ Michelet s’est laissé aller à une Histoire plus romancée.

→ Il y a à la fois une histoire universitaire et non universitaire qui peut tomber dans une histoire engagé.

→ Ernest Lavisse qui montre l’excellence de la République.

RQ : Lire un roman Historique de Dumas puis Lavisse pour avoir un esprit critique.

♦ Le XXe s ; Basculement de l’Histoire positiviste et l’arrivé de l’Histoire totale :

→ Lucien Febvre et Marc Bloch puis Fernand Braudel.

→ Histoire Annales prône caractère actif face aux faits. Les faires dire autres choses et interroger les faits.

→ Inventer sa source ; relever des choses dans son contexte, c’est nous qui en tirons quelque chose.

→ Ouverture de nouveau champ ou méthode qui se développe

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