Culture général, semestre 2

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Rome

C’est aussi le ca s d’étranger qui veut s’établir à Rome. C’est au départ une instit religieuse. Ce sont des relations très inégalitaires. Celui qui vient en aide à cet individu, étranger en état de faiblesse, on l’appelle le patron. Celui qui va bénéficier de l’aide bénéficiera de la protection d’un puissant et sera un lointain parent éloigné en difficulté. Le patron va aider financièrement le client qui viendra saluer le patron et on lui donnera de l’argent, à manger … il lui apporte une aide juridique et il lui permet d’accéder à un certain nombre d’intervention et lui fait bénéficier d’aumône et d’offrande. Le client doit du respect à son patron. Il lui fait aussi des cadeaux. Il va aussi participer au rite religieux eaux dieux de favoriser celui qui l’a aidé et aussi une aide politique et social. Cette instit est une instit de protection qui relève du droit coutumier. Il n’y a pas de lois strictes. Celui qui ne respectera pas fera une infraction sociale et religieuse (le client sera déclaré sasser cad hors la loi religieuse).

L’hospitalité : c’est une instit juridique. C’est la forme la plus simple de protection, commune à la Grèce. L’idée est que l’étranger qui demande asile doit être accueillit comme un envoyer des dieux. Au départ, c’est un devoir social qui deviendra juridique. L’étranger dans la société archaïque, l’étranger est vu avec hostilité. Elle témoigne d’une certaine maturité qui consiste à ne pas porter un regard négatif sur l’étranger. Dans la société antique, elle va aider les voisins, les « barbares ». D’un devoir religieux on va passer à quelque chose de très codifié. On va voir à Rome une hospitalité public (structure public) ou privée (particulier). C’est un contrat avec ds obligations réciproque, consensuel cad qui se forme avec le seul consentement. L’alliance va se poursuivre au-delà de la vie du contractant mais sur plusieurs décennies. C’est matérialisé par un objet, une tablette, que l’on va casser en 2, chaque partie conservant une. Elle implique pour le citoyens d’accueillir son allié, de le protégé juridiquement et physiquement et implique de la part de celui qui est reçu le respect de celui qui le reçoit. Cela a facilité les échanges commerciaux. La protection sociale passera aussi à Rome par la matière religieuse. Le Christianisme va l’intégré car elle correspond à ce qui est enseigné dans les évangiles. L’hospitalité sera présentée comme un devoir pour les chrétiens. L’instit de l’hospitalité va dans le mm sens que cette religion.

La distribution de nourriture et de terre. Depuis l’origine de Rome, les dirigeants (époque ancienne), les magistrats (républicaine) et l’empereur (empire) distribuât, ratage avec les plus pauvres des citoyens romains donnant une notion de partage. L’empereur verra ainsi son image amélioré. Aussi des distributions de terre.

A l’époque médiévale :

Il n’y a pas de changement fondamental par rapport à l’autre époque (moyen âge). Cette prise en charge n’intervient pas avec la révolution. Le roi est sacré et lors de la cérémonie su sacre, il s’engage à faire un certain nombre de chose et parmi ces taches, il y a la protection et la paix qu’il doit maintenir pour le bénéfice de son royaume. Ce qui implique qqn forme de protection sociale. Le roi manifeste de sa volonté d’accorder une protection spéciale qui en a besoin : les MISERABILES PERSONAE qui sont des personnes qui sont dans des situations difficiles. C’est la veuves et l’orphelin, les pauvres … le roi se doit de veiller sur ces personnes-là. Ça n’a pas permis de prévoir et d’emménager un cadre préventif qui viserait à pourvoir aux besoins de ces personnes-là. Il n’y a pas une quelconque orga qui fait ça. C’est donc d’initiative privée ou ponctuel de l’Etat. Tout ce qui peut exister en matière de protection est précaire puisque ne repose pas sur des orges légales qui découlent du droit privé.

- Les veuves sont souvent dans des conditions difficiles. On est dans une

Société divisé en 3 classes (2classes privilégié et 1 qui fait tout). Toute la société est bâti sur ce concept et chaque catégorie se voit appliqué un droit propre à sa classe sociale. Pour les veuves de la noblesse est meilleure que celle des veuves roulière. Le droit de la succession et les régimes matrimoniaux les protèges plus. La difficulté à cette époque-là c’est que les femmes ne travaillent pas. Donc la mort de leur mari leur met dans une situation désavantageuse ça n’ayant lus de ressources. C’est une catégorie sur lesquels il faut veiller. Les femmes noble peut bénéficier de leur dote après la mort de leur mari mais elles ne peuvent pas survivre rien qu’avec.

- Les orphelins

Il n’y a pas d’instit pour les prendre en charge. Ils ne doivent compter que sur générosité familial mais ça dépend de la situation familiale. Ces enfants seront pris en charges par la société ecclésiastiques.

- Malades et infirmes

Ils sont très largement aux charges de familles

La prise en charge, c’est la famille : vieillesse, folie, conditions difficile …

Les choses vont évoluer aux solidarités villageoises et professionnelles. Elles ont diverses origines : antiquité ou venue des sociétés germanique et qui sont à l’rigide nos instits.

- Villageoise

C’est dans le cadre du village et entre voisins dans les villes. C’est plus spécifique Dns les campagnes. Il y a une survivance de pratique communautaire qui est indispensable ; ELLE touche à l’agriculture et à l’exploitation des ressources naturelles. Elles visent à donner aux plus pauvres de la communauté. Il y a 2 type de terre : terre commune et terre approprié à des particulier sur lesquels il y a aura des jets qui vont user.

- Terre commune

Les communaux sont des terres non approprié. Au haut moyen âge, il y a des terres libres. La pop ne s’est pas approprié toute les terres on a des terres qui peuvent être approprié par les seigneurs. Ce sont des forêts, des maraichages, des terres pauvres … sur ces communaux, la pop du village va avoir la possibilité d’aller prélever des ressources naturelles : des fruits, des champignons, pétré le bataille …. L’ensemble va profiter de ces ressources. Les plus pauvres