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Cours: le seuillage et la quantification.

Par   •  27 Juin 2018  •  1 690 Mots (7 Pages)  •  378 Vues

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sinon il faut décoder puis recoder d’ou perte de définition et de temps.

*les images ne sont pas transmises dans l’ordre ou elles sont projetées à l’écran.

Ex : l’image 3 est reconstitué à partir des images 1 et 4. Pour reconstituer l’image 3, il faut donc connaître les images 1 et 4. Il faut donc transmettre l’image 4 avant la 3.

On transmet donc la séquence dans l’ordre suivant : 1 4 2 3 7 5 6 10 8 9 13 11 12

3) Norme MPEG-2

Cette norme reprend les principes de la norme MPEG-1 (faite pour le multimédia) et le généralise à l’audiovisuel pour le stockage ou la transmission.

4) Norme MPEG-4

C’est un standard de codage orienté objet qui traite de manière séparé chaque média. Composant une scène audiovisuelle. Ses outils sont optimisés pour s’adapter aussi bien au très faible débit (réseau mobile, canaux à très faible bande). Les objets multimédias reçu par le décodeur (pouvant provenir de différent lieux, sont accessibles indépendamment les uns des autres et peuvent être réassemblé de différente manière.

 MPEG-4. AVC (advanced vidéo coding (2003), 2X + performant

Repris sous H264 à LITU (international télécomunication

MPEG 4 AVC / H264

Remarque : Bloc plus petit (voir plus grand), prédiction jusqu’à 5 trames par rapport à 2 en MPEG-2 niveau de quantification plus élevé : 52 au lieu de 32 par rapport MPEG-2

VC-1 est le principal concurrent (2006) : Windows Media en est une application logicielle.

JPEG 2000 est une norme de compression des images capable de produire différent débits à partir d’un flux unique. La compression s’effectue en plusieurs phase répétitive, chacune produisant une sous image principale. (De résolution divisé par 2) et 3 sous image ne contenant que les détails dans les trois directions. Au décodage, on peut accéder directement au niveau de résolution le mieux en adéquation avec les capacités du système de restitution.

Les artefacts induit dans le cadre d’une compression trop poussé ne ce traduisent pas par des effets de bloc mais par une baisse de définition sur toute l’image.

Remarque : JPEG 2000 utilise une transformation en ondelette

-> intérets : scalabilité (extensibilité), codage sans perte.

->inclus des outils de résistance aux erreurs de transmission

*Le flux élémentaire (ES : elementary stream) -> flux brut issu du codeur (un seul type d’info)

* Le flux de programme (PS : Programm Stream) -> multiplexage d’ES (ex : DVD video)

* Le flux de transport (TS transport stream) -> flux composé d’un ou plusieurs PS destiné à être diffusé. (Système de correction, de synchro, de correction de GIG (giteur)

1.1 On peut prendre du MPEG-2 ou du MPEG-4 AVC

1.2 Cela fait à l’audio numérique

1.3 MPEG-1 audio layer Dolby Digital

2.1 IBBP : structure du GOP (IMAGE INTRA,IMAGE BIDIRECTIONNEL, IMAGE PREDIT)

2.2 Meilleur efficacité de compression avec un GOP plus long.

VOCA : CBR (constant bit rate) VBR (variable bit rate)

2.3 Car si il est constant il n’y a pas de maximum

2.4 MPEG-4

2.5 Dvideo NET = (176x99)x(4+2+0/4)x15X8

= 3 136 320 b/s

= environ 3,14 Mb/s

2.6 Tc = (Dvideo Net)/ D =environ (3,14x10^6)/(56X10^3)

soit 56 :1

3.1 880 Mbit/s

3.1 FORMAT HD 1080 LIGNES UTILES

9 – 1080

16 – x

9x = 1080 x 16

x = 1080 x 16 x 1/9

x= 1080 x 16 x 1/9

x= 1080 x 16/9

x=1920 pts/L (pixels/L)

 Pixels carrés

4-> 720

3-> x

x=720 x ¾ = 540 L

Conclusion : D = (44+22+22/44)x (1080X1320)x10x59,94

485 831 680

2,48 G Bits/s

tx de compression : (db video/ d d’enregistrement max) = (2,48¨10^9/880x10^6)

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