Comment les textes donnent accès aux pensées des personnages?

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forte, il y à un grand nombre de répétitions du pronom ‘’il’’, désignant Gavroche comme étant au centre de l’action, et pour finir, le champ lexical de l’oisiveté est employé au subjonctif. Dans le texte de Zola, il y à une omniprésence des figures de style telles que : des comparaisons subjectives : ‘’comme des toiles d’araignées’’ (ligne 14), des oxymore : ‘’voracité muette’’ (ligne 6), et des métaphores :’’Charger de plomb à l’estomac’’ (ligne 6-7). Enfin, dans le texte de Céline, l’on à une importante présence des phrases exclamatives :’’Tant pis pour lui !’’, ainsi qu’une alternance des discours directe et indirecte.

Dans chacun des trois textes, l’on à des rythmes homogènes qui donnent un ton radicalement différent à l’action. Dans le texte de Victor Hugo, l’on remarque un rythme excessivement rapide dût aux nombreuses énumérations et à la parataxe Dans le texte de Zola, l’on observe un rythme rapide, résultat de l’immersion dans le travail des mineurs : ‘’se hâtèrent’’. Pour finir, dans le texte de Cécile, Le rythme abordé est un rythme qui s’alterne entre rapidité et lenteur en fonction du discours employé.

Pour conclure, l’on peut dire que quelque soit l’auteur, le style d’écriture, et l’époque, pour donner au lecteur accès aux pensées du héro, les auteurs jouent entre point de vue, ton, rythme, et construction syntaxique. Après avoir répondu à la problématique :’’Comment les textes donnent accès aux pensées des personnages ?’’ L’on peut se demander si dans d’autres genres littéraires, les auteurs utilisent les mêmes procédés.