Cas Allokuiso

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argumentée(s)

5. D’après Shumpeter le système capitaliste repose sur l’entrepreneur. En effet, entreprendre est un état d’esprit, le profit rémunère la prise de risque et la capacité d’innovation de l’entreprise. Il est donc important de reprérer les opportunités, de pouvoir les exploiter en prennant des risques pour aquérir des bénéfices. Contrairement à la logique managériale, qui se base sur la gestion des ressources, des contrainte et des compétences pour assurer la pérénité de son entreprise. La logique managériale se distaingue de la logique entrepreuneriale car c’est une logique de gestion des ressources existante et non une logique d’accroissemet des ressources de l’entreprise.

Le cas Allokuisto illustre une complémentarité entre ces deux logiques. En effet, Matthieu et Benoit sont des entrepreneurs car ils se sont associés, ils ont investi leur économie, ont pris des risques en s’implantant sur le marché de la restauration rapide à domiciles (alors que la concurrence est forte), et ils ont innovés en proposant des plats cuisinés mettant en avant les saveurs du terroir de la région bordelaise. De plus, ces jeunes associés requierent des compétences de manager étant donné que ceux sont eux qui recrutent et forment leurs salariés selon les besoins de l’entreprise donc mobilisent les ressources humaines. Enfin, Mattheiu et Bnoit cherchent également à maintenir le chiffre d’affaire stable et réduire leur taux d’endettement, afin de la péréniser l’entreprise.

6. Afin de mesurer la performance de l’entrepirse, plussieur indicateur peuvent etre pris en compte. Ici, Jean constate qu’il n’y a pas de tableu de bord pour fixer les objectifs à ses équipes (cuisiniers et livreurs). Il serait donc interessant de mettre en place ce tableau de bord pour savoir si les objectifs fixées ont bien été réalisés, afin vérifier l’efficassité de leur travail. De plus, on ne peut pas savoir non plus si l’entreprise est performante sur son secteur par rapport à ses concurrents. Pour cela, il faudrait étudier les chiffres d’affaires des concurrents pour connaitre notre situation sur le marché par rapport autres, et par exemple innover afin d’augementer notre chiffre d’affaires si l’ont se situe en dessous de la moyenne. Enfin, il serait avantageux de connaitre les avis et les propositions des clients afin d’améliorer certains points, et donc de demander à ces derniers de bien vouloir remplir un questionnaire.

7. Afin de développer l’organisation, de multiples options s’offre à nous : Soit opter pour une stratégie globale de diversification, en proposant de mettre en place un réseau de franchisé. Cela permettrait d’occuper une plus grand place sur le marché et donc d’être plus compétitif, toucher un plus grand nombre de personne et donc espérer augmenter en conséquence sont chiffre d’affaires. Cette stratégie nécessite néanmoins des compromis, en effet il faudrait adapter les plateaux repas à chaque région afin de satisfaire l’ensemble de la clientèle, de plus il faudrait accepter de déléguer du pouvoir et avoir confiance en ses collaborateurs. Pour finir cela aurait pour conséquence de quitter le marché de la restauration rapide. Ou opter pour une stratégie de différenciation, en proposant des prestations complètes pour des évènements (mariages, réceptions), ou alors de mettre en place la possibilité de commander ses repas sur internet (site vitrine très fréquenté). Cela permettrais à l’entreprise d’élargir sont champs d’action en touchant un maximum de prospects, tout en gardant le contrôle de l’entreprise.

8. L’option stratégique qui me semble la plus pertinente est la stratégie de différenciation, en effet l’entreprise n’est pas totalement stable et ne dégage pas suffisamment de chiffre pour financer un tel projet qui est de mettre en place un réseau de franchisé même si cette dernière a des résultats des encourageants. En optant pour la stratégie de différenciation, Benoit et Matthieu resterons maître de leurs entreprise et continuons à agir sur le marché de la restauration rapide, ce pourquoi ils ont prit des risques.