Candide, Voltaire

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Le roman « Candide » montre comment Voltaire réussit à bien jongler avec les deux types de pensée à travers son écriture. Selon mon point de vue, je me rattache à la position exprimée par l’auteur, et ce, pour plusieurs raisons. D’abord, je crois que le fanatisme et l’intolérance sont deux points nuisibles pour l’homme. Dans le livre, on retrouve de nombreux exemples vécus par Candide qui montrent ces deux aspects, surtout en lien avec l’église catholique. La dénonciation de la guerre, de l’injustice et des multiples atrocités sont d’autres points grandement discutés dans le livre. Par exemple, l’auteur montre que la guerre est comme un jeu et que le dirigeant se soumet à sa seule volonté et à son plaisir personnel. Bref, tout comme Voltaire, je crois qu’il est souvent sans intérêt pour un peuple de mener la guerre. Je suis également d’avis qu’il faut veiller à ne se mêler que de ses propres affaires pour subvenir à ses besoins et qu’il est important de se tenir à l’écart des errements métaphysiques (Leibniz) qui voudraient qu’on attende tout de la divinité. Somme toute, je retiens que la vie vaut la peine d’être vécue, qu’elle soit parsemée d’obstacles ou pas.

Pour conclure, on comprend que Voltaire a su exprimer son point de vue face à la vie qu’il vivait autrefois. En comparant la sienne à celle d’autres philosophes de cette époque, on comprend la réalité compliquée que pouvait vivre le peuple du Siècle des années Lumières. Grâce au personnage Candide, qui vit une évolution morale et psychologique, on comprend que celui-ci représente l’innocence, la pureté et l’honnêteté et qu’il parvient à aimer la vie malgré toutes les épreuves qu’il a rencontrées au cours de celle-ci. Il serait toutefois pertinent de se demander si tout être humain possède les aptitudes nécessaires pour se forger son propre esprit critique, indépendamment des autres.

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