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Le Journal du Téléphone

Par   •  16 Mai 2018  •  1 031 Mots (5 Pages)  •  373 Vues

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8. Bilan du séjour en entreprise

9. Observer et interroger l'entreprise

Chaque établissement pourra compléter les fiches, en ajouter et personnaliser ce guide. Le CAEE espère que ce Guide de séjour en Entreprise, constituera un outil enrichissant pour tous les jeunes afin que leur « Séjour » en entreprise les aide à construire leur avenir professionnel.

D'après la revue « L'enseignement Technique » n° 158

Texte 4A

Qu'est-ce que Djinn ?

Les professionnels qui s'équipent de plus en plus en micro-informatique réclame des outils de communication simples et pratiques. C'est pour cette raison que France Télécom propose depuis l'an dernier Djinn. Il s'agit d'une solution de communication entre un micro-ordinateur et le réseau téléphonique. Son programme rassemble toutes les informations sur les correspondants. A partir du répertoire, il suffit à l'utilisateur de cliquer sur le nom du destinataire pour composer directement son numéro. Il est ainsi possible de correspondre avec lui tout en commentant un document à l'écran. Ce même document pourra être transmis ultérieurement par télécopie.

D’après un article de la revue « Le journal du téléphone » n°29

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Texte 5A

Recyclable ou recyclé ?

Prolixes pour vanter leurs produits et emballages recyclables, les fabricants le sont beaucoup moins pour annoncer les volumes véritablement recyclés. Pour faire la part entre le marketing et la réalité, voici l'état des lieux, filière par filière.

Campagnes de sensibilisation, spots télé, affiches géantes : les divers secteurs d'emballage font feu de tout bois pour convaincre les consommateurs que l'on est entré dans l'ère du «tout recyclé ». Le Syndicat national des matières plastiques a lancé le 16 juin dernier une grande offensive médiatique sur la «seconde vie des plastiques ».

Tout cela est louable, mais la réalité est fort différente. Si la récente mise en place de véritables filières de retraitement par une société constitue un premier pas, les cinq grandes familles de l'emballage, ainsi que les filières de récupération des déchets « spéciaux » dangereux pour l'environnement, ont encore beaucoup d'efforts à fournir pour tenir leurs promesses.

Papier-carton : la crise

La totalité des 900 millions de tonnes annuelles carton est techniquement recyclable. La collecte est depuis longtemps obligatoire pour les entreprises. S'y ajoutent les systèmes récemment mis en place pour la récupération auprès des particuliers, comme à Paris.

Plus de 30 % de la production était ainsi réutilisée. Mais l'engorgement de la filière allemande (où incinération et mise en décharge sont interdites) a provoqué un afflux de produits d'outre -Rhin souvent livrés accompagnés de chèques substantiels dans nos usines papetières. Résultat : les cours se sont effondrés.

Il est donc urgent de faire appel à des mécanismes régulateurs pour éviter d'être dépendant des lois du marché. Aucun financement n'est actuellement prévu pour l'essentiel des papiers qui garnissent nos poubelles.

Aluminium : encore peu de récupération

C'est le poids plume de l'ordure ménagère avec 72 000 tonnes seulement d'aluminium flexible et semi-rigide. Si l'aluminium est cher à produire, ils se recyclent en revanche indéfiniment, à des prix très faible.

Plusieurs magasins disposent d'unités de récupération des boites de boisson, qui acceptent aussi bien l'acier que l'alu. En revanche, on ne sait pas encore extraire les 5 % d'aluminium contenus dans les emballages composites de type Tétra Pack. Des études sont en cours pour résoudre le problème de dépulpage des fibres cellulosiques.

D'après la revue « Que Choisir » n° 299

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