La musique dans la mythologie grecque
Par Ninoka • 19 Avril 2018 • 1 513 Mots (7 Pages) • 731 Vues
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succession mélodique de quarte sons (quatre cordes, ce qui correspond au nombre de cordes de la phorminx, la version la plus ancienne de la lyre). Le tétracorde est aussi le système simple qui sert d’unité fondamentale pour la formation des autres systèmes. En fonction de la place du demi-ton, il existe seulement 3 tétracordes différents :
qui donne les modes complet suivant :
Il existe deux systèmes de notation alphabétique, un plus ancien pour la musique
Instrumentale, un plus moderne pour la musique vocale.
C’est un système abstrait d’intervalles, qui s’entend en hauteur relative, sans
Aucune référence au diapason.
Il existe deux types de système : le système conjoint qui est construit par conjonction de deux tétracorde c’est-à-dire une note commune ; l’ensemble du système forme un heptacorde ; et le système disjoint
Pour pouvoir relier les deux tétracordes disjoints, on peut ajouter un tétracorde par
conjonction qui, pour avoir la même structure, comporte un sib (modulation) : - rythmes
Le rythme correspondait au principe mâle, tandis que la mélodie représentait le principe femelle. Le rythme est puisé du texte, de la poésie métrique. En ce qui concerne les durées, nous avons la longue _ et la brève. Le rythme du Vers résulte du nombre que représente la suite des longues et de brèves. Les principaux mètres grecs sont les suivants (les rapports entre longue et brève pouvant être de 1/2 ou de 1/1½
II-3/ INSTRUMENT DE MUSIQUE
III-Les fêtes religieuses de la mythologie grecque
A Athènes les fêtes religieuses étaient particulièrement nombreuses et brillantes; seule la guerre pouvait les suspendre ou en réduire l’éclat. Elles exaltaient, en même temps que les sentiments religieux, la fierté nationale. Elles s’étalaient sur presque tous les mois de l’année ; certains mois, même, comme celui de Pyanopsion (=octobre) en étaient surchargés. Elles comportaient des concours soit athlétiques, soit musicaux, soit dramatiques. Le culte s’organise autour de prières, d’offrandes et de sacrifices et, à Athènes, à partir de Clisthène, autour du théâtre. La tiédeur dans la célébration du culte est considérée comme une trahison, d’autant que les dieux sont fort jaloux et susceptibles.
Les principales fêtes religieuses étaient les suivantes (à noter que l’année athénienne commence en juillet):
En juillet : les Panathénées, grande fête nationale de la protectrice de la cité, Athéna
en septembre : les mystères d’Eleusis, en l’honneur de Démèter etde sa fille, Korè
en octobre : les Pyanopsia, fête des semailles, en l’honneur d’Apollon ;
les Thesmophories, réservées aux femmes exclusivement, en l’honneur de Démèter (Plutarque, vie de Démosthène) ;
les Apaturies, fête civique des phratries (=divisions de la tribu) ;
les Chalkeia, fête des artisans, en l’honneur d’Athéna Erganè et d’Héphaïstos ;
en décembre : les Dionysies rurales, réjouissances populaires, plus ou moins débridées, en l’honneur de Dionysos ;
en janvier : les Lénéennes, en l’honneur de Dionysos ;
en février : les Anthéstéries, fête du vin, en l’honneur de Dionysos ;
en mars : les grandes Dionysies ou Dionysies urbaines, en l’honneur de Dionysos ;
en avril : les Plyntéries, fête du bain d’Athéna.
CONCLUSION
la musique grecque s’est élaboré lentement, la théorisation des derniers siècles dépassant sans doute l’exécution d’elle-même .La danse et la musique prenaient donc à cette époque une place et une ampleur beaucoup plus importante qu’aujourd’hui dans la vie des Grecs, et faisait partie intégrante de leur vie quotidienne, que cela se passe dans un cadre public, privé ou sacré
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