La liste de Schindler, HDA

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4) une œuvre en rapport avec l'histoire :

- J'ai choisi le journal d'Anne Frank car l'histoire se passe pendant la seconde mondiale à Amsterdam en Hollande. Elle parle d'une jeune filles d'origine juive avec ses parents et sa sœur qui sont obligés de quitter leur maison et qui vont se réfugier dans un vieil entrepôt qu'ils appelleront l'Annexe où M et Mme Van Daan avec leur fils arriveront 2 mois après, puis un dentiste les rejoint au bout de 6 mois. Les jours étaient longs et l'hygiène médiocre les douches duraient pas plus de 5 minutes par personne, la nourriture devenait immangeable M Van Dann était malade. Un jour les SS sont venus car on les avait prévenus qu'ils y avait du bruit dans l’entrepôt. Ils devenaient de plus en plus prudents car le sol grincait de plus en plus et les SS ne faisaient que multiplier leurs visites ; les vêtements étaient devenus bien trop petits la seule choses que Anne appréciait et supportait encore était la lecture. Les avions Bombardiers avaient quasiment détruit la Hollande, la radio ne parlait que du gouvernement et de quel côté fallait être. Mais le 4 août 1944 les SS trouvèrent les locataires de l'Annexe, ils furent emmenés au camp de concentration et d'extermination.

Le père d'Anne Frank réussit à résister il décida de publier le journal intime de sa

fille en sa mémoire et en la mémoire des juifs morts dans les camps et de leur

entourage encore en vie.

- La partie du texte choisie montre qu'elle reste positive jusqu'au bout.

- Ce qui m'a touchée dans ce livre est la sincérité de ce texte. Car Anne croit en ce que elle écrit, elle fait passer un message d’espoir à elle même car en l'écrivant cela lui donne de la confiance, et elle veut vivre, elle écrit comme pour motiver des gens à résister. Ce livre, ma beaucoup émue car cette histoire c'était l'histoire d'une jeune fille qui au fond na rien demandé à personne et que juste parce que elle était juive on lui interdisait de vivre. Quand elle dit « Je réalise à l'instant que le courage et la joie sont deux facteurs vitaux. » ça montre vraiment son envie d'avancer.

- Ce qui rapproche les deux œuvres et que elles se situent toute les deux dans la périodes de la seconde guerre mondiale, et que sa touche les juifs les deux extraits que j'ai pris. Ça me plaît de présenter cette œuvre car j'ai eu la chance d'aller en Pologne et de voir, le camps d'Auschwitz.

Mardi 11 avril 1944

« Qui nous a marqué ainsi ? Qui a décidé l'exclusion du peuple juifs de tous les autres peuples ? Qui nous a fait tant souffrir jusqu'ici c'est Dieu qui nous a faites ainsi, mais aussi, ce sera Dieu qui nous élèvera. Si, en dépit de ce fardeau que nous portons, nombre d’entre nous survivent toujours, il faut croire que, de proscrits, les juifs deviendront un jour des exemples. Qui sait, un jour viendra peut-être ou notre Ancien Testament enseignera le bien au monde, donc a tout les peuples __ c'est là la seule raison de note souffrance. Nous ne pourrons jamais devenir des représentent d'un pays, quel qu'il soit ; jamais nous ne serrons des Hollandais, ou des Anglais tout court ; nous serons toujours juifs par sur-croît. Mais nous tenons a le rester.

Courage ! Soyons conscient de notre tache sans nous plaindre, et soyons sûrs de notre salut. Dieu na jamais laissé tomber notre peuple. Au cour des siècles, nous avons été obligé de souffrir et, au cours des siècles,nous avons aussi gagné en force ; les faibles tombent, mais les forts survivront et ne tomberont jamais !

L'autre nous au fond de moi-même je savais que j'allais mourir. J'attendais la police, j’étais préparée, comme un soldat au champs de bataille. Volontiers, j'allais me sacrifiée pour la patrie. Maintenant que je suis sauvé je me rends compte de mon premier désir après-guerre devenir Hollandaise.

J'aime les Hollandais, j'aime notre pays, j'aime la langue et je voudrais travailler ici. Quitte a écrire moi-même à la reine, je ne fléchirais pas avant avoir atteint ce but.

Je suis de plus en plus détacher de mes parents de plus en plus indépendante. Aussi jeune que je sois, j'ai plus de courage de vivre et je me sens plus juste, plus intègre que Mère. Je sais ce que je veux j'ai un but dans la vie, je me forme une opinion, j'ai la religion et mon amour. Je suis consciente d'être une femme une femme avec une force moral et beaucoup de courage.

Si Dieu me laisse vivre, j'irais bien plus loin que mère, je ne resterais pas insignifiante, j'aurais ma place dans le monde et je travaillerais pour mes semblables.

Je réalise a l'instant que le courage et la joie son deux facteurs vitaux. »

A toi

-Anne

P :211-212 du livre le journal D'Anne Frank