Economie
Par Christopher • 20 Octobre 2017 • 3 167 Mots (13 Pages) • 570 Vues
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- La croissance extensive et intensive
Intensive : progrès technique pour mieux produire pour que l’on puisse parler de croissance le PIB doit augmenter d’au moins 2% par an.
Lorsque l’augmentation de la quantité de facteur de production et cause de croissance on parle alors de croissance extensive.
A l’inverse lorsque la croissance s’explique par l’augmentation de la productivité on parle alors de croissance intensive.
Extensive => création d’emploi (chine)
Intensive => Vend pour acheter plus performant (France)
- Le progrès technique
Le progrès technique représente l’ensemble des innovations qui entraine une transformation des moyens des méthodes de production, des produits ou des machines.
Se progrès technique agit sur la productivité à la fois du capital et du travail.
Il agit bien sûr, sur la croissance avec l’arrivée de nouveaux produits qui vont stimuler les marchés et favorisant la croissance économique et par un supplément de consommation et il agit aussi sur le travail en supprimant à court terme des et en favorisant l’émergence de nouveau emploi sur le long terme (concept de Schumpeter).
Le progrès technique a longtemps été considéré par les économistes comme relevant d’une activité scientifique et technique extérieur.
Les théories moderne de la croissance montre au contraire que se progrès technique résulte d’investissement spécifique qui sont à l’origine d’enchainement cumulatif.
L’investissement recherche et développe ce qui entraine de la croissance, croissance qui va dégager des ressources supplémentaires pour l’entreprise, ressource qui vont de nouveau servir en recherche et développement.
- la productivité
La productivité correspond au rapport entre la production d’un bien ou d’un service et la quantité de facteur travail ou capital nécessaire pour cette production.
La productivité est donc la mesure de l’efficacité avec laquelle une économie utilise les ressources dont elle dispose pour fabriquer des biens ou des services.
Les activités principales ou fonctionnement opérationnelles comprennent principalement
- la logistique
- la production
- la commercialisation
- la SAV
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Les activités de soutient que l’on appelle aussi vont regrouper principalement l’approvisionnement, la recherche et le développement, la GRH et l’infrastructure de l’entreprise.
Le diagnostic stratégique de la chaine de valeur doit essayer de déterminer quel sont les activités de l’entreprise qui vont être source d’avantage concurrentiel.
L’analyse de cette chaine de valeur pourra mettre en évidence le fait que certaine activité ne créer pas de valeur ou même en détruise.
Dans ce cas-là l’entreprise devra envisager l’externalisation de certaine activité qui s’agisse d’activité principale ou d’activité de soutient.
PORTER dans cet avantage montre que les différentes activités de l’entreprise sont interdépendantes le long de la chaine de valeur et que dans un environnement instable les gains de productivité s’obtiennent davantage sur la gestion des liens entre les différentes activités.
La gestion des liens est réalisée grâce au savoir collectif notamment grâce à la capacité relationnelle.
Une meilleur coordination des activités sera perdu et valoriser par le client.
Cette gestion des liens passe par la reconfiguration de la chaine de valeur qui nécessite des investissements immatériel comme la formation, le Knoledge management ou le développement de culture de l’entreprise.
II La diagnostic interne du potentiel de l’entreprise
En fonction de leur potentiel technologique, humain, financier organisationnel toutes les entreprise ne dispose pas des même moyens pour s’adapter la leur environnement et assurer leur position concurrentiel.
Il s’agit d’analyser le potentiel de l’entreprise d’un point de vue des ressources matérielles.
Pour Edith PENROSE l’entreprise doit être analysée comme un ensemble de ressource tout d’abord :
- Ressource tangible = humain, matériel, capital
- Ressource intangible = réputation, image, savoir-faire de l’entreprise, d’innovation
Pour Edith Penrose l’entreprise doit aussi exploiter ses ressources intangible afin de façonner un contexte concurrentiel qu’il lui soir favorable.
III Le diagnostic des compétences
Depuis le milieu des années 80 la notion de compétence c’est imposée face à celle de qualification.
La compétence d’un individu est sa capacité à comprendre est interpréter diffèrent problème professionnel pour pouvoir les résoudre dans un contexte particulier.
Une compétence est par conséquent une connaissance en action. Elle dépend de l’individu mais aussi du contexte de l’action. La compétence individuelles est la combinaison du savoir agir (savoir-faire, savoir être) du pouvoir agir (type de management) mais aussi du vouloir agir (motivation du salarié).
Au-delà des compétences individuelles il faut aussi considérer la compétence de l’entreprise que l’on appelle aussi collective c’est-à-dire la façon dont l’entreprise utilise l’ensemble de savoir et savoir-faire.
Les compétences collectives sont liées à la qualité de circulation de l’information de la coopération et de la communication du partage des connaissances et du savoir-faire entre les membres de l’équipe.
C’est compétences se forge par l’expérience elle se construise dans le temps est nécessite un engagement important du management.
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