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Histoire des techniques

Par   •  8 Novembre 2018  •  1 788 Mots (8 Pages)  •  557 Vues

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couleurs sechent sacilement et peuvent pas etre repris. Il est impossible de superposer des couches. C’est un procédé très contrainant, il sera donc abandonné dès qu’il y aura d’autre choix.

Anonyme, le Calvaire (fin Xvè siecle, Lille, palais)

b) L’oeuf : la tempéra

Soit en totalité, soit juste le jeune, ou juste le blanc mais rarement. Cette technique seche et durcit ensuite. Elle est de pw couvrant rémarquable et elle permet de donner l’effet de brillance. Seul un analyse chimique on peut savoir si la brillance est lié au tempera ou c’est l’huile.

Botticelli, Vierge à l’Enfant.

c. Eau et mortier frais : la fresque.

Les pigments sont détrompés a l’eau, ensuite appliques sur le tableau sur laquelle la couche de mortier a ete préaleblement étendu. C’ets un couche de mortier frais. « A fresco » expression italienne qui a donné le nom francais « fresque ». Chenin dans « le livre de l’art », vers 1990.

Cette technique présente des avantage et des inconvénients, les pigments s’empreignent sur la texture et y restent à l’étérnite. Les pigments font corps avec le mur. Les pigments conservent leur couleurs d’origine. Fresque est tres sensible à l’humidité.

Fondaco dei Tedeschi.

Ce palais a été décoré par Ticien et Georgeon. Ce palais présent l ’exception puisque a Venise on faisait présque jamais des fresques a cause d’humidité. Le mur peu etre detruit, fissuré etc.

L’execution de la fresque est difficile. Le peintre qui travaille sur l’endui humide il ne peut pas porter des modifications. L artiste doit détérminer l’espace qu’il va pouvoir peindre pendant la journée. L’artiste va tracer sur le mur et ensuite placer le mortier frais sur le mur. Souvent l’artiste s’arrange pour que les raccords soient le moins visible possible. Souvent il va choisr de mettre les contours de personnages. Ce qui est le cas dans la frésque de

Botticelli, Vénus et les graces offrent des présents a une jeune fille (vers 1480, Louvre).

Cette fresque a été probablement réalisée pour le mariage d’une fille de cette famille. Cette fresque est aujourd’hui a Louvre, c’était carrément une mure qui a été apportée en france au début de XIXe siècle par Napoléon.

Michel – Ange, Le Jugement dernier (1536 – 1541, Rome).

d) L’huile : le peinture à l’huile.

La peinture a l’huile est une des conquêtes majeurs de la renaissance, elle s’associe avec un support nouveau la toile tendu sur le chassie. L’huile va jouer dans le résultat. De lui dépendent les effets de brillance et conservation de peinture.

Les couleurs se sont dilués et certains pigments se sont disparu. Comme la robe de la dame, les pigments sont endommages partiellement. On voit a travers la robe le teinte brune. Il est impossible de restaurer cet œuvre avec les techniques que nous avons aujourd’hui. On parle de support – la toile qui a dominé les autres, la peinture a fait la même chose. Ier tiers de XV siècle est sa naissance, dans le milieu flamand. Tout les sources mentionnent Jean Van Eyck comme inventeur de cette technique. Cette technique a déjà été connu au moyen age, mais Jenni parle déjà de cette technique vers XIV siècle. Donc JVE ne serait pas inventeur. En effet, JVE est le premier qui va porter cette technique, la perfectionner et donc va diffuser cette technique en raison de son autorité. Encore un avantage : la peinture peut être repeint. Donc le peintre peut repentir. Et on peut le faire autant de fois qu’on le veut. Le peinture a l’huile permet aussi de donner l‘effet de transparence. La technique comprend la superposition de couches très fines afin de laisser quand même la couleur initial en évidence. La perspective permet d’utiliser bien l’espace, donner la forme aux objets.

Ex : Van Eyck, Portrait des époux Arnolfini (1434, Londres, National Gallery).

Antonello de Messine, Christ à la colonne.

On voit bien les détailles, une larme, une cordelette, les cheveux. C’est un œuvre de petite taille. Il y a la proximité qui se creet entre nous et le christ. Les peintres n’ont pas de temporalité, ils sont obligés de choisir que un moment clé. Ici l’auteur refuse cela, et il montre tous le moments de la passion du christ. Cet œuvre a été commandé par un commentateur privé. On est en dehors de la dimension publique. Grasse a la peinture a l’huile on voit tout ses détailles et cela rend l’œuvre très inconvenance.

Leonard de Vinci, La Joconde, 1503, musée de Louvre, Paris.

Léonard de Vinci va mettre en œuvre la technique « sphemato » qui veut dire embrumé. C’est une zone de transition autour de la figure qui différencient les couleurs de paysage de couleurs de vêtement de personnage. Cela permet de donner du volume. Plus tard il a des tubes pliables qui apparaissent dans lesquelles la peinture est déjà prête (vers XIX siècle). Ce mélange de l’huile est déjà prépare. C’est une évolution technique qui va rendre possible une révolution esthétique, en effet, les peintres peuvent quitter leurs ateliers et peintre dehors.

Ce sera très utilisé par des impressionnistes.

Ex : Monet, Impression, soleil levant (1872, Paris, musée Marmottan).

Ce tableau sera exposé en exposition dans 2 ans, ces tableaux feront l’objet de critique d’art. « On ne voit rien, c’est flou, on devrait appeler ça l’impressionnisme », et ce nom péjoratif avait donné le nom au courant artistique qui va se développer ensuite.

IV Le vernis

Il renforce l’intensité et la cohésion des couleurs. Et également cela protéger le tableau. Le problème vient du fait que avec le temps le vernis jaunisse voire noircit. C’est une évolution qui perturbe les couleurs d’œuvre.

Bibliographie :

Perogeo – dictionnaire des materiaux de peintre, 2005

Nadege Dagen – Lire la peinture

Histoire

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