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TPE sur la Grande Barrière de Corail.

Par   •  18 Août 2018  •  2 724 Mots (11 Pages)  •  408 Vues

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C) Qu’elles sont les solutions pour y remédier?

Tout d’abord, le gouvernement australien doit mettre en place un plan de protection plus ambitieux et plus concret que celui proposé à l’heure actuelle. Il devrait en outre interdire le développement de l’industrie du charbon à proximité du récif et mieux prendre en compte les menaces des changements climatiques, plutôt que de censurer les rapports de l’ONU sur les conséquences du réchauffement climatique pour les sites du Patrimoine mondial, comme il l’a fait récemment.

La lutte contre les changements climatiques est essentielle puisque bon nombre des menaces qui pèsent sur le récif sont liées aux émissions de CO2 d’origine anthropique (du a l’activité de l’homme). Nous devons également nous diriger vers des énergies renouvelables dite vertes (éolienne, solaire, hydraulique) et respectueuses de l’environnement. Il faut réduire autant que possible notre empreinte environnementale (est une mesure de la pression exercée par l'homme sur la nature) et adopter des réglementations qui nous permettent de réduire nos émissions aux niveaux requis.

Axe 2 sous partie A

- A) Création de richesse (et perte)

Des scientifiques ont précisé le montant nécessaire pour sauver la mythique barrière de corail.

Il ne sera peut-être plus possible de sauver la Grande barrière de corail dans cinq ans si le gouvernement australien ne consacre pas d'urgence 6,5 milliards d'euros à l'amélioration de la qualité de l'eau de ce joyau patrimonial de l'Australie. Ce sont en tout cas les prévisions de scientifiques qui publient une étude dans le Coastal and Shelf Science journal (est une revue pluridisciplinaire internationale consacrée à l'analyse de l' eau saline des phénomènes allant du bord extérieur du plateau continental à la limite supérieure de la zone de marée).

qui parle de d’une barrière touchée à 93%. Le plus grand système corallien au monde classé au patrimoine de l'humanité est menacé par les menaces citer précédemment.

la solution actuelle est inadéquate. "Le système actuel de gestion pour capturer les ruissellements polluants et affronter le changement climatique est clairement inadéquat pour empêcher de nouvelles dégradations", dans une étude publiée par le Coastal and Shelf Science journal. Si des fonds monétaire ne sont pas débloqués la grande barrière de corail en sera au stade terminal d'ici 5 ans

Axe2B La destruction

La destruction de la Grande Barrière de corail menace le tourisme australien

Un rapport de l’Australien Institute évalue à presque 800 millions d’euros les pertes de recettes touristiques du pays liées à la dégradation des récifs coralliens. Si la Grande Barrière de corail continue à subir des épisodes de blanchiment importants, l’Australie perdra chaque année 174 000 touristes étrangers soit environ 782 millions d’euros vu que chaque touriste doit payer 25 euros pour la visite du site, en ne comptant que les trois premiers pays visiteurs, à savoir les Etats-Unis, la Chine et le Royaume-Uni. C’est ce qu’expose un rapport de l'Australien institut, rendu public 21 juin (2016), qui mesure les potentiels impacts du blanchiment de la Grande Barrière de corail sur les activités du secteur touristique australien. Ces conclusions ont été tirées d’études scientifiques et économiques récentes, mais aussi d’une série de sondages réalisée par le think thank (désigne une institution de droit privé, en principe indépendante, à but non lucratif, qui regroupe des experts ou des professionnels chargés de réfléchir sur des questions des domaines politique, économique, technologique, social, etc.) auprès de touristes étrangers et australiens. Cette enquête fait suite aux pires épisodes de blanchiment de la Grande Barrière survenus au début de l’année 2016.

Selon les sondages de l’Australian Institute, les touristes internationaux mettent la Grande Barrière à la première place des attractions touristiques du pays, à égalité avec l’opéra de Sydney. Mais si le blanchiment des coraux continuait, un tiers des touristes américains, 55 % des chinois et 27 % des britanniques interrogés choisiraient une autre destination pour leurs vacances.

Les récifs coralliens font aussi partie des trois lieux australiens préférés des touristes français. Depuis 2012, l’agence de voyage : voyage Autrement envoie chaque année environ 8 000 voyageurs de l’Hexagone. Pour Aurélia Devillier chef de l’agence, cite que « l’état des coraux n’est pas un frein pour les Français, comme il peut l’être pour les touristes allemands par exemple ». Elle estime qu’« outre la Grande Barrière, l’Australie regorge de richesses qui attirent les voyageurs ».

L'industrie touristique s’inquiète néanmoins du sort de la Grande Barrière de corail. Sa partie septentrionale (qui est situé au nord par rapport à un point donné) est la plus affectée dans l’Etat du Queensland et « les prestataires n’emmènent pas les touristes dans les endroits où les coraux sont morts ». Mais les excursions et plongées sous-marines sont pour l’industrie touristique une occasion de sensibiliser les touristes à la préservation du patrimoine. « Les prestataires ont une réelle volonté de conserver cet écosystème auquel ils sont attachés, . Ils veulent aussi agir pour maintenir l’économie de leur secteur, qui dépend de la santé des coraux, surtout dans le Queensland. »

Axe2C

Des milliers d’emplois menacés

En 2015, l’organisme australien Tourism and Events queesland(TEQ) estimait en effet à 3,3 milliards de dollars australiens (soit environ 2,1 milliards d’euros), les recettes touristiques du queensland. Et en 2005, une étude d'Oxford Economiques donnait aux récifs coralliens une valeur économique de 51,4 milliards de dollars australiens et évaluait l’impact du blanchiment à 37,7 milliards de dollars australiens. Si les touristes se mettaient donc à bouder la Grande Barrière de corail, l’économie australienne serait directement atteinte. D’autant plus que, d'après le centre de recherche de recherche TourismResearch Australia , le tourisme est à l’origine de 130 900 emplois dans le Queensland (4,7 millions d’habitants), dont 39 000 sont directement liés à la barrière de corail.

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