Le réel et l'imaginaire
Par Ninoka • 30 Avril 2018 • 1 260 Mots (6 Pages) • 476 Vues
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Or la philosphie de Husserl établit donc qu'il ya une dimension cachée du réel. Nous sommes affimrme t-il comme des animaux plats ignorants qu'il existe une troisieme dimension. Or le modèle permettant de comprendre le mode d'être de de cette vie n'est pas celui des choses stables, fig&es et distinctes, mais celui d'une pensée vivante naissant noramment dans l'imagination. On peut ainsi parler du pouvoir de fascination et de déracinement possédé par l'imaginiare. Nous sommes transportés, par l'ouevre d'art, dans la vie de ceux qui sont représentés. Nous pénétrons dans l'image. Ainsi l'image transporte, accomplit une diffraction en un moi actuel d'une part et un moi image d'autre part. L'image réalise le tour de force de nous rendre présent à ce qui est ailleurs, ce qui se tient dans un monde ficitg. La nature de ma présence au réel pose alors problème. Ou est le sujet qui imagine ? Plus tout à fait pleinement ici mais pas entièrement ailleurs, dans une sorte d'entre d'eux dfficile à qualifier. Comment l'objet peut il ne plus livrer quelque chose de lui même alors quil n'est pas réel ou réellement présent ? Comment peut il susciter en moi les émotions les plus vives. L'objet est à la foi présent est flottant, et le sujeet laisse sa place. Il y a donc un pouvoir de subversion de l'imaginaire qui oblige à s'interroger sur ce qu'est exactement le réel, sur ses limites, sa définition. Husserl projette de surmonter idéalisme et réalisme pour saisir un monde transcendant et hanté par une subjectivié diffuse, ce qui induit qu'il rejette la définition de l'imagination comme faculté transcendentale. Pour l'imagination est un mode de présence des objets eux mêmes. Considérer l'imagination comme faculté synthétique liant les phénomènes est dénuée de pertinence. Le danger d'une telle théorie est de voir la réalité du monde se dissoudre dans la consicence, les choses devenir de simples représentations, ce qui est une dérive qu'il cherche à éviter.
Le monde qui nous entoure ne semble pas pouvoir être réduit à ce que les sensations nous en livrent : des synthèses et des consctructions à partir de ce matériau qu'est le réel semblent nécessaires. L'apparaite ne saurait se réuduire à une fiction. La mise en forme des procédés de synthèse n'est pas une faculté mentale. Ainsi l'apparition du réel est une structuration particulière, mais elle n'est pas mon oeuvre. La conscience est intentionelle est d'emblée ouverte sur le transcendant. Puisque le caractère intentionnel de la conscience ouvre l'eêtre vers le transcendant, les vécus de l'imagination doivent porter la marque de cette ouverture. Ainsi l'imagination doit être considérée comme étant une dimension de l'être. Quelque chose du rapport au monde, à l'être même des choses, se joue dans l'imaginaire. L'imaginaire mérite d'être reconnu comme un mode d'apparition des choses. Husserl admet clairement que l'imaginaire est un mode d'être possible des choses, notamment certains aspects cruciaux du réel comme autrui ou le possible. L'imaginaire est alors élevé au rang de dimension à part enti_re de l'Etre, l'Etre est animé mais aussi fragilisé par cette dépendance à une dimension imaginaire. Le réel est l'imaginaire, domaine que nous pensions dans un premier temps distants voire opposés, apparaissent ainsi comme empiétant l'un sur l'autre. Le mode de présence flottante, reconnu dans sa specificité par Husserl, peut alors être considéré comme lieu possible d'esxpérience authentiques et sa specific en font le médium prvilégié dans certains domaines. Ainsi, l'imaginaire a un role complémentaire de celui de la perception, permettant l'apparaitre d'aspect du réel ne pouvant se présenter que dans un certain flottement.
Ici partielleùent imaginaire partiellemet réel--> Nietzsche
transition sur la question d l'accès a la réalité
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