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Je est-il un autre ?

Par   •  23 Novembre 2018  •  1 057 Mots (5 Pages)  •  580 Vues

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ce qui est faux. En effet, Locke, un philosophe empiriste, démontre que c’est la conscience qui fédéré par l’intermédiaire de la mémoire. En effet, ces l’activités de la conscience qui fédéré les différent moment vécu ou encore les changement que l’on subi. La mémoire est cependant sélective, elle sélectionne certain souvenir donc les souvenirs sont sélectifs et relié à une activité de conscience. Cette conscience étant réfléchie et non spontané (conscience sur l’instant), on a donc conscience d’avoir eu conscience à un moment à un autre moment et on ramène tout à une unité. Locke prend pour exemple d’avoir eu conscience d’avoir conscience de voir la seine débordée, il fait le lien entre ces différent moment, entre ce souvenir et aujourd’hui. De ce fait, la conscience faisant le lien entre ces changements, nous arrivons à une unité du moi. Cella indiquerais donc le fait que ‘‘je’’ ne peux pas être l’autre. Mais ni a t’il pas des parts de nous qui reste sombre ou l’existence d’une exception qui empêchent cette activité de conscience à travers la mémoire ?

La conscience créant l’unité du moi à travers la mémoire, une perte de celle-ci empêcherais donc cette unité et ferait de Je un autre. Ce cas est présent avec la maladie de l’Alzheimer. En effet, si ce processus intellectuel lié à la mémoire et au souvenir ne fonctionne plus, que l’individu se on souvient de son passé mais pas des évènements de la veille, cella signifie, que sans ce lien effectué par la mémoire, il y a plusieurs personne dans un même individu. Nous pouvons aussi nous interrogé sur ce coté sombre qui reste en nous. En effet, Freud démontre l’existence d’un inconscient où serait stocker les donné, les souvenir, que la conscience refoule, censure. La présence de l’inconscient démontre donc que nous sommes des êtres complexes au multiple facette. La censure de la conscience ne remet cependant pas en question l’unité du moi, tant que la censure n’est pas excessive et ne crée pas de névrose. Car les névroses, comme celle évoqué dans l’introduction avec le film de Hitchcock peuvent entrainer le fait que ‘‘je’’ sois l’Autre. Effectivement, les névroses peuvent entrainer la perte de mémoire qui empêche donc l’unité du moi. Nous observons donc deux exceptions qui empêchent cette unité.

Nous pouvons donc en conclure que le ‘‘je’’ est un sujet complexe, aux multiples facettes qui subi des changements. Mais que ces aspects sont touts reliés par la conscience de sois, qui effectue une activité de synthèse, qui joins le tout en une unité, à l’aide de la mémoire. Cella permet au ‘‘je’’ de ne pas être un Autre. Cependant, une personne étant atteint d’un certain type de névrose, comme le complexe de culpabilité, ou de la maladie Alzheimer, pourra être, durant une partie de ca vie un autre. Cella s’explique par le fait que dans le premier cas, la conscience censure de manière excessive et dans le second par le fait que la mémoire ne peut fonctionné correctement.

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