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Comment s’approprier le programme de philosophie?

Par   •  19 Mai 2018  •  1 907 Mots (8 Pages)  •  707 Vues

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Subjectivité : La connaissance des caractères dépend de nous. Ce que je connais de la chose n’a de sens, n’existe que pour moi. C’est la connaissance des caractères exclusivement fondée sur le sujet connaissant (la raison et la sensibilité).

Objectivité : Connaissance indépendante de nous. Elle dépend de l’objet. Toutes les choses dont je parle sont objet. Ce que je dis de la chose existe, indépendamment de moi, en soi. Est objective la connaissance des caractères qui appartiennent à la chose et qui sont fondés en la chose. Je connais la chose en elle-même.

Se tromper : C’est attribuer un caractère, à la chose, qui ne lui appartient pas et qui dépend exclusivement du sujet qui en parle.

Bavarder : Lieu où s’affrontent les opinions qui ne parlent de rien.

Toute opinion est elle vraie ?

Droit et de fait vraie, en tout que tout discours vise a dire ce que les choses sont, et si seulement chacune est confirme a la chose telle qu’elle est donnée ici et maintenant dans l ‘expérience. Mais certaines opinions sont vraies et d’autres fausses, sont vraies celles qui ne se contredisent pas et son fausse celles qui se contredisent.

Une opinion est vraie quand elle est conforme à ce qui dans la chose est sensible et perceptible par la faculté de la sensibilité, ce sont les sensations.

L’opinion est vraie est un jugement qui se fonde sur la faculté de la sensibilité depuis laquelle j’ai accès à l’être sensible de la chose. Ce que la chose est, est sensible. C’est l’ensemble des propriétés sensibles : les sensations.

Thêta, d’Aristote

Le thème concerne les rapports d’identité et des différences entre le discours et l’être, suffit il de parler pour que les choses soient comme on les dit ? Aristote affirme l totale dépendance du discours l’être ce que je dis des choses défend de ce qu’elles sont et non l’inverse. Le Pb d’Aristote est de montrer que l’être se dit en des sens multiples, il y a dans l’être du non être ce qui signifie qu’il y a des choses qui ne sont que ce qu’elles sont. Ex : tout triangle a 3 angles

Point de vue des philosophes (Socrate, Platon). : Il n’y a de science que de ce qui ne change pas. Les choses mathématiques sont des ide-alités qui existent en soi. L’idée est le modelé qui est a l’origine de la production des choses (La femme n’est aucune femme mais se retrouve dans toutes les femmes). L’homme n’est pas la mesure de toute chose, il y a un ordre idéal qui dépasse toute chose.

Point de vue des sophistes (Protagoras, Théétète) : Ce qui est, c’est la sensation, c’est une réalité sensible qui dépend toutefois de la faculté de la sensibilité.

L’Homme est la mesure de toute chose, des choses qui sont et des choses qui ne sont pas.

L’être est totalement dépendent du discours. Il dit ce que les choses sont en fonction de sa sensibilité, de ses gouts.

Les maths n’ont aucune existence en dehors de l’expérience qui est celle des hommes.

Les sophistes pensent que les idées platoniciennes n’existent pas en soi, ce sont des abstractions. (C’est une femme, pas la femme, c’est un individu particulier)

1er critère du vrai : la conformité de mon discours ou de ce que je dis à la chose dont je parle est de la conformité de la chose à mon discours

L’idée chez Platon : Une chose n’est que ce qu’elle est.

Abstraction : Chose donnée dans l’expérience sans ses caractères sensibles et particuliers.

Relativisme : conduit au scepticisme et au pragmatisme. Dépend de la sensibilité de chacun.

Scepticisme : douter que la vérité soit accessible à la raison humaine

Pragmatisme : La vérité est relative à l’homme

Idéaliste : Affirme que l ‘être n’est pas réductible aux sensations. Et que l’idée (réalité intelligible, qui ne présente pas de caractères sensibles) dépasse ce qui est donné dans l ‘expérience et le fonde.

2ème critère du vrai : La non-contradiction.

Raisonnement par l’absurde : établir le faux d’un jugement en déduisant une conséquence qui le contredit, supprime, nie.

Contredit : J’affirme d’un sujet ce que je nie et je nie d’un sujet ce que j’affirme.

Principes et fonctions : rendent possible l’exercice individuel de l’intelligence individuelle ou du discours.

Nihilisme : Ceux qui nient l’être d’un individu, d’une chose.

Les 3 principes logiques (=principes de l’être) :

- Le principe d’identité : S est S, niveau de l’être : une chose est ce qu’elle est (jugement affirmatif). Je dois affirmer ce que la chose est et ne dois pas nier ce que la chose est. C’est dire vrai donc ce qui est, est.

- Principe de non-contradiction : S n’est pas non S : niveau de l’être : une chose n’est pas ce qu’elle n’est pas (jugement négatif). Je dois nier ce que la chose n’est pas. Je ne dois pas dire que la chose est ce qui la nie.

- Principe du tiers-exclu : ou S est ou S n’est pas. On doit dire ou bien S est ou bien S n’est pas

Opinion vraie affirme les identités entre S et P

Identité relative (a posteriori) : empirique, particulière, contingente, sensible.

Identité absolue (a priori) : Universel, nécessaire, essentiel

Universel : (≠ Particulière) ce qui se dit de tous les sujets dont je parle indépendamment d’un ici et d’un maintenant.

Nécessaire : (≠ Contingent) ce qui ne peut pas de pas être.

Essentiel : (≠accidentel) Toutes les propriétés sans lesquelles une chose n’est pas cette chose.

Réel : La position de la chose ou l’existence absolue de la chose indépendamment des idées que je m’en forme, des représentations

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