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L'importance de l'écoute pour un manager

Par   •  19 Février 2018  •  1 022 Mots (5 Pages)  •  623 Vues

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Dans le texte de Corine Moriou :« Les salariés adorent la journée zen ». « le concours du meilleur gâteau avec récompense » développe chez les salariés un esprit de convivialité, les salariés sont une équipe, une famille. Ils vont naturellement se sentir impliqués dans l’entreprise « la communication interne, la fierté d’appartenance ». Ainsi ce moment de bien-être facilite la vie dans l’entreprise.

Dans le texte de Delphine Déchaux et Cyrille Pluyette : « Toutes les décisions sont prises de façon collégiale ». La fondatrice de la société Serda « Louise Guerre » nous montre réellement ce qu’est le management participatif : « Je donne rendez-vous aux salariés dans le cadre d’un séminaire afin de définir la stratégie de l’entreprise ». Nous avons pu observer grâce à Louise Guerre que les salariés ont bien une place dans la prise de décision de l’entreprise. Enfin, nous allons voir si un dirigeant peut concilier management autoritaire et écoute des salariés.

On peut définir le manager comme une personne qui entretient des rapports distants avec ses collaborateurs, ne leur faisant pas confiance et décidant seul. Le système de motivation repose sur les sanctions et les récompenses. « il ne sait pas valoriser le travail effectué pour la moitié d’entre eux ».( texte de Laurence N’Kaoua : « Salariés et manager : les raisons du malentendu »). Une enquête nous montre les différences entre le regard des managers, des salariés, et des patrons. Le management autoritaire provoque très souvent un mal-être au niveau des salariés : « 24 % s’avouent insatisfaits des rapports avec leur supérieur direct ». La taille de l’entreprise prend une place importante dans la conciliation entre management autoritaire et écoute des salariés. « Dans une PME, réactive par définition, tout est plus brutal ». Les salariés pensent que leur chef est « peu épanoui », « 39 % le jugent médiocre ». Alors que dans les grandes entreprises : « 77 % affirment avoir un bon manager », « 73 % estiment qu’il est garant de l’entente de l’équipe », « 59 % veillent même à leur épanouissement ». Dans le texte de Grégoire Silly, Carolyn McCall nous montre vraiment que l’on peut concilier management autoritaire « C’est vrai. Il faut être dur ». « Je pousse mes équipes à se dépasser, pour qu’elles progressent ». C’est une femme qui autorise les erreurs : « Faire des erreurs, c’est OK, à condition d’en tirer la leçon ». Elle écoute ses salariés : « J’essaie d’aller voir le centre des opérations, les pilotes, les hôtesses pendant le vol, quand elles se relaxent et se confient ». Nous avons pu voir que les dirigeants peuvent concilier management autoritaire et écoute des salariés mais certains resteront dans un style de direction autoritaire.

Pour conclure nous pouvons dire que dans une même entreprise peuvent se côtoyer plusieurs styles de direction en fonction des domaines des contraintes de l’environnement.

Il n’existe donc pas de « style de direction idéal ». Le choix d’un style de direction se fait en fonction de trois séries d’influence, celle du leader, celle des subordonnés et celle du contexte.

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