Dissertation sur la société

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L’être humain ne cesse de se poser des questions en portant des jugements moraux comme est ce que j'aurais du faire cela ? Ou ai-je bien fait ? Ou dois-je mentir pour préserver la paix entre 2 personnes ? Quelle sera ma sanction ?

Toutes ces interrogations mettent bien la place de la conscience morale tout en faisant apparaître son coté sombre.

La morale étant des principes de jugements de conduites ou de règles relatives au bien et au mal de devoir dont certains transgressent.

Le pasteur Martin Luther King disait « chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. »

Sommes nous libres de ne pas les suivre ? Tout en ayant conscience que des sanctions nous attendrons.

Quoi qu'il arrive la conscience est bien la rattaché a sa moralité et elle même était elle aliéné a nous même.

L'aliénation de notre conscience morale serait elle bien définit ?

Ce mot que nous connaissons tous surtout au sens aliénation mental définissant celle ci par une maladie mentale rendant un homme étranger a lui même et d'une démence totale. Pourrions nous nous l'approprier par un attachement démentiel a notre conscience morale ?

Marx définissait l'aliénation comme « l'état de celui qui se trouve devant les produits de son activité comme devant une puissance étrangère qui le domine ».

La conscience morale ne serai t-elle pas cette puissance étrangère . Pour certains oui mais d'autres non. Prenons ce croyant qui veut absolument plaire a dieu et qui dérive dans l’extrême comme ces jeunes radicalisés de notre société. La conscience lui dit de ne pas tuer , de ne pas tomber dans la violence extrême et que le suicide est interdit, Mais son « moi » décide de couper cette communication entre l’être et la conscience morale par une pulsion violente qui l'encourage a être un individu unique.

Il recherche la satisfaction divine comme lui suggéré a l’occurrence ici son gourou qui est sa puissance extérieur. En quelque sorte sa conscience externe. la conscience morale n'est plus la , il fait du mal a autrui ainsi qu'a lui même et il part a l'encontre de sa propre personne en commettant l’irréparable sans penser aux sanctions divines ou juridiques. Il est étranger a lui même ; d'un homme sain il passe a un aliéné mental.

Chaque cas sont différents comme un homme sans conscience.

A partir de ces exemples nous pouvons constater que nous vivons dans une société du bien vivre ensemble ou les règles et les lois réagissent guident nos consciences morales ainsi donc nous sommes notre conscience morale.

Malgré cela nous possédons toujours notre liberté car par moment nous cédons a nos petites pulsions a nos petits penchant « c'est pas bien mais je le fais quand même ».(cigarettes,mentir..)

ou dans des cas exceptionnelles ou la conscience n'est plus comme ces assassins, ces fous de dieu qui deviennent complètement étranger a eux même .

Freud disait « la conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions »