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Cours de philo

Par   •  2 Décembre 2017  •  1 677 Mots (7 Pages)  •  672 Vues

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Déf : Attitude de l’esprit qui adhère une idée sans quel celle-ci soit prouvée (par la démonstration ou l’expérience). La croyance, en tant qu’opinion incertaine, s’oppose à la science. On peut distinguer aussi la croyance naïve et la foi, celle-ci reposant sur une exigence profonde de l’esprit (foi religieuse, foi morale).

Différentes croyances :-idéologie – fanatisme /-superstition /-croyance religieuse = foi, croyance qui tire sa force du fait qu’elle n’est pas en mesure de proposer des preuves « vérités révélée » / -l’illusion (déception, violence) / -rêve, fantasmagorie

- L’expérience

L’expérience vient du simple fait que nous existons et que nous avons accès à nos sens. L’expérimentation est guidée par une recherche précise. L’interprétation est de chercher du sens à ce que l’on observe. L’H qui est expérimenté, doute, il se remet en cause. Il est capable de changer de certitude qui accepte de ne pas avoir toujours raison.

Descartes 17ème : Il doute de tous ce qu’il connait, il met tout son savoir à l’épreuve : preuve d’intelligence, remise en cause.

On cherche une vérité pour vivre mais aucune n’est définitive. On ne peut pas faire l’expérience de tout car le temps est limité. Il y a des expériences que l’on refuse de savoir au nom de nos valeurs càd ce à quoi on rattache des valeurs. Il y a des contraintes naturelles et culturelles.

Pour trouver la vérité, nous pouvons faire plusieurs expériences, mais surtout nous utilisons notre RAISON. C’est ce qui nous permet de mettre de l’ordre, de la logique, de produire des preuves, de démontrer. La vérité va se poser sur la raison.

Le problème c’est que nous n’utilisons pas toujours notre raison, et nous basculons dans l’irrationnel. On a besoin de rêver, d’imaginer, quand on dépasse le délire cela devient néfaste.

Déf : Connaissance immédiate de la réalité par les sens. En science, expérimentation vérifiant une hypothèse scientifique.

LA LIBERTE :

- La justice

- La loi

- Le bonheur

La liberté n’est pas une question individuelle → problèmes de vie en communauté et nos relations aux autres.

Nos actes ont des conséquences sur les autres il nous faut donc des limites, des lois pour pouvoir vivre ensemble. On reproche souvent à la loi de nous empêcher d’être libre mais sans la loi il n’y aurait pas de société et les H seraient dangereux les uns pour les autres. La loi est utile pour tous et protège chacun.

Déf : Pouvoir agir selon sa volonté, indépendamment de toute contrainte. Au sens politique, la liberté suppose l’existence de lois qui la protègent et l’organisent.

- La justice :

Déf : Principe moral qui exige que chacun reçoive en fonction de ce qui lui est dû : il n’est pas juste que celui qui a triché reçoive les félicitations du jury. Principe qui permet de juger de la valeur de la loi. Désigne également l’ensemble des institutions qui appliquent la loi d’un Etat.

C’est un organisme qui met en application les lois et qui veille à leur respect. La justice est la même pour tous. Elle se base sur la raison et l’objectivité = être équitable. C’est le contraire de la vengeance, de punition arbitraire = c’est la subjectivité qui règne. La justice est d'abord une exigence, et même une exigence d'égalité : c'est d'abord quand un partage, un traitement ou une reconnaissance sont inégalitaires, que nous crions à l'injustice. La justice devrait donc se définir par l'égalité, symbolisée par l'équilibre de la balance.

- La loi

Quelle est l’utilité de la loi ? Pouvons-nous nous passer des lois ?

La loi est la base des cultures, elle permet la liberté. Les lois dans une démocratie ont pour objet de garantir la liberté, ces lois peuvent être remises en causes, certaines sont abandonnées.

Lois = règles à respecter par tous pour le bien de la communauté pour l’intérêt général. Les lois sont contraignantes mais elles sont nécessaires pour vivre ensemble.

Déf : En science, rapport nécessaire et constant entre des phénomènes. En philosophie politique, une loi est une règle obligatoire issue de l’autorité souveraine et organisant l’action des hommes dans la société. En philosophie morale, une loi est une norme conduite.

- Le bonheur

Tous les H sont à la recherche du bonheur. Le désir d’être heureux motive certainement toutes nos actions, mais savons-nous vraiment ce qu’est le bonheur ?

Le bonheur est un sentiment de plénitude, un contentement sans réserve. C’est ce qu’on souhaite, à l’évidence, à tous ceux qu’on aime, parce qu’il est ce qui comble la vie. Le bonheur constitue ainsi un état d’achèvement et de perfection de l’existence. La satisfaction de tous nos désirs semble répondre à la question de ce qu’est le bonheur, pourtant chacun voit bien qu’il y a loin entre le plaisir d’un instant et l’état de complète satisfaction que suppose le bonheur. La vie comblée par le bonheur s’installe dans la durée.

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