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Tiens, j'ai pu en tirer 120, mais les flics sont arrivés, j'ai dû casser une vitre pour ne pas me faire chopper

Par   •  24 Avril 2018  •  1 589 Mots (7 Pages)  •  620 Vues

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-Lucas tu vas avec Léa en ville chercher des informations, pendant ce temps je m'occupe du code avec Théo.»

Lucas et Léa partirent sur le champ en ville. Le but était d'obtenir de quoi fournir le journal qui n'avait pas beaucoup avancé depuis le début de la journée. En arrivant en ville, l'écran géant de la place principale s'alluma et le dictateur apparu:

«Bonjour peuple de France, il y a deux jours, la police a intercepté des tentatives de complot, toute personne faisant partie de cet acte devra se dénoncer avant demain. Si ce n'est pas le cas, celles-ci seront éxécutées sur la grande place».

«Il faut aller prévenir le journal tout de suite, dit Léa.

-Avant on doit essayer de trouver quelques infos, vient avec moi on va au restaurant de la rue d'à côté, le responsable a toujours des choses intéressantes à nous dire.»

Une heure après être partis, les deux journalistes rentrèrent.

«Le dictateur veut...

-Je sais, j'ai entendu mais on a le temps de mettre en place ce qu'on avait dit. Théo a réussi à déchiffrer le message, il nous a donné l'adresse des Lorrains. Nous leurs avons envoyés les deux premières pages du journal et leur avons dit quoi faire pour se préparer à notre arrivée.

-On attend plus que leur réponse. Dit Théo»

Après une journée de travail acharné le groupe de quatre avait réussi à élaborer un plan pour rentrer dans l'Est grâce aux deux lorrains et à leurs proches.

«Bon Théo c'est toi qui conduit, il y a au moins trois heures de route.

-Ok mais tu prendras le relai à mi-chemin.

-pas de problème.»

Juste avant d'arriver à la «frontière» de la Lorraine, le doute arriva, nous ne savions pas si les Lorains étaient prêts, nous leur avions dit que nous arriverions vers quatre heure du matin.Il était trois heures et cinquante-sept minutes.

Lorsque la voiture afficha quatre heures, nous étions proche de la frontière. Nous étions stressés. La barrière se leva et on tomba nez à nez sur deux personnes. C'était les lorrains, le plan avait fonctionné.

«Je me présente, je m'appelle Etienne et voici ma sœur Alice.

-Merci de nous avoir aidé, montez dans la voiture il faut qu'on parle.

Après avoir discuté avec Etienne et Alice, nous sommes allés à l'endroit où la faille se situait pour passer en Allemagne.

On attendit que la journée se termine pour passer la frontière car c'était trop risqué d'y aller pendant la journnée.

A 23 heures tapantes, nous étions devant celle-ci, un complice nous fît traverser. La peur n'avait jamais été aussi présente. Si nous nous faisions attraper, nous serions éxecutés. Mais grâce au complice qui avait fait en sorte qu'il n'y ait plus que lui sur une portion de 30 mètres, on passa grâce à une échelle . Quelques égratignures après, nous étions passés et on entra en Allemagne, on était enfin libre.

On ne pouvait pas perdre de temps. Alors nous sommes allés à l'embassade de France pour pouvoir parler à la chancelière Allemande. Après quelques refus, et la peur qu'ils nous renvoient en France, celle-ci avait réussi à passer un accord dans toute l'union européenne pour nous sauver. Elle contacta peu après le dictateur pour lui prouver que la révolution était en marche. Lorsque le peuple apprit cela, tous le monde se revolta et alla dans la rue.

Lorsqu'il se rendit compte du nombre de personnes présentes dans la rue et l'envie qu'avait l'Europe de faire cesser la dictature, il s'avoua vaincu et fût arrêté.

Après deux mois de remise en place, tous les journaux, les télés et internet étaient de à nouveau disponibles. Quant à Hector Juran, il était en prison et ce pour encore très longtemps.

Lorsque le journal fît sa première apparition depuis le retour à la normale, j'organisais une réunion

«On a réussi, nous avons des droits et j'ai l'honneur de vous présenter la une de «Hebdo pour le peuple»

-Génial! S'exclama Théo.

-On a enfin le droit d'écrire, fini le calvaire»

La une fît le buzz. Le plaisir était présent car nous pouvions allumer la télé et regarder ce qu'on voulait. On pouvait aller sur internet où même lire les livres qu'on voulait.

La France était de retour dans l'union européenne grâce à la solidarité de toute l'Europe qui s'était unifiée pour nous sauver.

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