Les médias dans notre société

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De même, dans le roman de Serge Joncour l’animateur de l’émission téléviser met tout en œuvre afin de rendre la vie de Georges Frangin extraordinaire alors que finalement il est tout ce qu’il y a de plus banale. Une fois de plus, on constate que les médias ne nous disent pas la vérité et Georges Perec en parle aussi dans son essai. Il considère que les journaux ne nous apprennent rien car ils n’ont pas la réponse à nos questions.

Les quatre documents n’ont pas exactement le même avis sur les médias et l’extraordinaire mais ils se rejoignent sur le fait que les médias utilisent l’extra ordinaire pour rendre des faits ordinaire en buzz.

Ces quatre documents ont une vision négative des médias, les auteurs pensent que les médias usent de leur pouvoir de diffusion pour transformer la réalité afin de rendre des événements ordinaires en faits extraordinaire.

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Ecriture personnelle – Culture générale

Dans cette écriture personnelle nous allons tenter de répondre à la question suivante : « Selon-vous peut-on vivre l’extraordinaire au quotidien ? ». Cette question nous montre une réelle opposition entre le quotidien et l’extraordinaire. Alors que le quotidien est habituel et commun, l'extraordinaire est inhabituel et hors du commun.

Pour répondre au mieux à cette problématique nous verrons dans une première partie comment il est possible de vivre l’extraordinaire quotidiennement, puis dans une seconde partie nous verrons s’il ne faut pas chercher l'extraordinaire pour échapper à l'ennui du quotidien.

L'extraordinaire, pour beaucoup, c'est les attentats ou gagner le gros lot. C'est sans doute une question de personnalité, il y a ceux qui préfèrent la tranquillité et ceux qui préfèrent l'aventure. Mais dans tous les cas, l’extraordinaire ne semble pas se trouver dans la routine du quotidien.

Pour beaucoup le quotidien est ennuyeux, Baudelaire dans le spleen nous confirme ce ressentit. On peut citer ce passage « Le monde, monotone et petit, aujourd’hui, Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image. Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui ! », On remarque ici une détresse de l’Homme dans le quotidien. La répétition d’aujourd’hui, hier, demain, toujours nous montre bien qu’il trouve à ce moment la vie monotone et similaire de jours en jours.

Seulement, d’autre tel que Franz Bartelt avec son livre «petit éloge de la vie de tous les jours » font l’éloge justement de ce quotidien. Pour eux, il est fascinant d’avoir une vie calme et paisible.

Une fois de plus, on remarque que c’est une question de personnalité et de goût. Pendant que certain vivent une vie simple avec un travail sans problème d’autre préfère une vie mouvementée, rythmés de problème et de faits que l’on peut qualifier peut être d’extraordinaire pour certain et tout à fait ordinaire pour d’autre.

C’est à ce moment qu’on arrive à la conclusion suivante : des faits extraordinaires le sont peut être pour certain dans leur quotidien alors qu’ils paraissent ordinaire pour d’autres car leur quotidien les amènent régulièrement à ce genre de faits.

On peut conclure en disant que l’extraordinaire n'est que l'extrême pointe du quotidien. Selon moi, l’ennui du quotidien pousse à la recherche de l’extraordinaire.

La question qu’on vient à se poser est donc la suivante : faut-il chercher l’extraordinaire pour trouver le bonheur ?