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et qui a pour objectif ultime de « trouver et actualiser en permanence l’adéquation entre ce que l’entreprise peut spécifiquement faire (selon ce que demande le marché ou la société et selon les moyens qu’elle possède) et ce qu’elle veut faire (le produit ou le service projeté), étant donné les possibilités et les contraintes d’un environnement donné. » [2]

Étant donné que le l’environnement dans lequel évolue la banque Scotia est un milieu très turbulent et en constante évolution, il est important que leur planification stratégique soit au point et qu’elle puisse permettre â l’entreprise de s’ajuster le plus rapidement possible faute de quoi la concurrence prendra le dessus. De crainte que cela se produise, il est commun que dans le monde corporatif que l’on utilise l’approche systémique dans le but de cerner la réalité dans laquelle se situe et ainsi établir sa stratégie en conséquence.

L’environnement macro-économique : [pic 2]

Le macro environnement englobe dans son ensemble la réalité dans laquelle baigne l’entreprise. Donc tout ce qui externe a l’entreprise : le climat politique, l’environnement écologique, l’environnement social, le milieu de la technologie, la situation économique. En ce qui concerne notre entreprise, « Comme la plupart des entreprises en 2017, La Banque Scotia tente d’évoluer son aspect digital en incitant les clients à utiliser de plus en plus les plateformes en ligne tel que les applications mobiles (Online Banking), les sites web et les guichets automatiques. » précise Evangelia Metaxiotis, notre contact ressource au sein de la banque Scotia.

En effet, les grandes tendances actuelles â l’ère de la société du savoir dans le milieu technologique sont l’utilisation massive des TIC (technologies de l’information et de communication) pour ainsi permettre le transfert d’un plus gros volume d’information et à une vitesse quasi instantanée.

De ce fait, la propagation de l’information est devenue un phénomène très répandu ce qui vient accentuer la compétitivité au sein des employés des entreprises. De telle manière que, l’atteinte des objectifs est devenue un fardeau stressant pour les employés. En effet l’atteinte des objectifs est très d’actualité dans le milieu financier et cela engendre certaines dérives de ce phénomène.

Cette tendance engendre ainsi une évolution encore plus rapide des secteurs corporatifs et financiers et par la même occasion un défi de taille à relever dans le processus de planification stratégique des entreprises.

En ce qui s’agit du milieu socio-économique quelques points majeurs sont à souligner [3]:

- Le décloisonnement des institutions financières a créé des perspectives de carrières nouvelles, intéressantes et remplies de défis. Il existe déjà une demande de conseillers financiers compétents œuvrant pour des personnes privées et des entreprises.

- La mondialisation des marchés et la libéralisation des échanges ont modifié le marché de l’emploi, qui a subi des transformations importantes dans toutes les disciplines. Les entreprises sont à la recherche des gestionnaires capables d’exercer leurs talents à l’échelle de la planète. La compétition sur le marché de l’emploi ne proviendra donc pas seulement des diplômés des universités locales, mais aussi des universités étrangères. Il est donc primordial de se distinguer et s’adapter.

- L’époque de l’omniprésence de l’État providence est quasi révolue. L’aide des gouvernements pour trouver un emploi n’est plus aussi omniprésente. Dans la fonction publique comme ailleurs, L’initiative et la participation sont des capacités indispensables pour les entreprises de la société du savoir. Le modèle de gestion behavioriste est de plus en plus sollicité et les groupes de travail sont valorisés.

L’environnement microéconomique :

En ce qui s’agit de la réalité interne de l’entreprise, évolue évidemment dans le domaine financier et des assurances mais son champ de compétence se caractérise plutôt dans :

· Les autorités monétaires et la banque centrale;

· L’intermédiation financière (services bancaires aux particuliers et aux entreprises);

· Les valeurs mobilières, contrats de marchandises et autres activités d’investissement financier connexes (courtage, services de conseils en placement, administration de fiducies);

· Les sociétés d’assurance et activités connexes (assurance vie, maladie et soins médicaux, biens, incendie, accidents et risques, automobile, experts en sinistres, services-conseil en assurance, pension et plan de retraite).

En ce qui s’agit de la vision et la mission de cette entreprise, concernant sa stratégie d’affaire, le but de la Banque Scotia est « d’avoir des clients primaires, donc des clients qui ont un portefeuille varié chez nous. » affirme Evanglia Metaxiotis

Stratégie d’affaire :

La banque Scotia mets l’accent sur ses clients actuels. Elle offre des services de planification financière à ses clients qu’elle désire fidéliser et développer leur portefeuille.

D’une part l’innovation : « Cette stratégie est complètement nouvelle, aucune autre banque n’utilise présentement cette stratégie a ma connaissance. Elle repose sur l’environnement interne puisqu’il s’agit de travailler avec les clients que nous avons déjà et de les faire découvrir nos différents services et plateforme. » précise Mme Metaxiotis. D’autre part, la banque Scotia exerces ses fonctions essentielles et routinieres : « Service à la clientèle, conseiller le client (ventes) » ajoute-t-elle.

D’ailleurs, les TIC ont une place très importante au sein de cette entreprise, ce qui est bien évidemment inévitable à l’ère de la société du savoir. Mais cette entreprise mise sur le côté plus social que permettent ces technologies. Effectivement, cette entreprise mise sur le côté plus humain : « Nous avons un système du style Facebook nommé Scotia Live qui nous permet de partager les idées et bons coups de chaque succursale, nous avons également un système de chat sur chaque ordinateur qui nous permet de communiquer entre nous sans devoir quitter le client, ce qui fait en sorte qu’il se sent pris en main. De plus, 2 fois pas semaines nous avons des réunions où la direction nous communique nos résultats et les changements à