Le suicide
Par Christopher • 24 Octobre 2017 • 1 714 Mots (7 Pages) • 476 Vues
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Puis, Cornu donne son point de vu personnel sur les sciences humaines. Il explique que de trouver des solutions à tout ne règle pas toujours les problèmes de l’homme en tant qu’homme. Il fait un parallèle entre la situation actuelle dans le monde, la domination de l’homme sur la nature et le fait qu’elle se soit peut-être retourné contre lui. Il prétend qu’il faudrait essayer d’avoir une pensée un peu plus globale des pour arriver à comprendre la question du suicide. En d’autres mots laisser tomber les croyances et accepter la vie comme elle est serait la meilleure solution. Par la définition de l’éthique, l’auteur amène une éthique de l’inquiétude quand il cite : « L’éthique n’est pas là pour nous rassurer, mais elle est là pour nous aider à faire avec nos peurs » ou « ..je parle à partir d’une impuissance reconnue et acceptée à maîtriser ou même comprendre le Mal et d’une dimension d’espérance inquiète jamais possédée » L’auteur démontre sont dégoût pour le monde d’aujourd’hui. Il inquiète aussi dans ses expressions suivante « le poids de la vie » ou « endurer la souffrance ». Cornu résume ses opinions sur l’espérance d’une vie meilleure. Il poursuit en nous rappelant que l’éthique est d’agir avec soi tout en acceptant la part de l’autre en moi. IL termine en nous racontant une de ces histoires personnelles, concernant un de ces amis qui s’est suicidé pour nous expliquer sa logique de l’espérance, dont il se sert pour exprimer ses sentiments.
B- Dans l’ensemble de son texte, l’auteur Michel Cornu fait une critique sur l’éthique du suicide. Il explique sa vision des choses concernant le suicide comme évènement et non comme problème. Pour faire une histoire courte de son texte, il faut tout d’abord comprendre que Cornu affirme qu’ on ne peut pas se fier à la science pour trouver des solutions au suicide. Les sciences ne peuvent atteindre la réalité de l’acte car elle ne tienne pas compte de la question du sens de la vie. Il affirme qu’ il ne peut y avoir de jugement ou de théorie sur le suicide, car la question du suicide reste un mystère. Pour appuyer ses affirmations Cornu amène beaucoup de questionnements pour nous amener à réfléchir. Les points principaux défendus par l’auteur sont appuyés par la définition de la moral et de l’ éthique qui soutiennent son point vu sur le suicide du début à la fin de son écrit. Il est important de comprendre que chaque personne est unique et en même temps a une part de l’ autres en lui pour comprendre son texte. Il critique la position des philosophes grecques, celle de la doctrine religieuse qui condamnent ou légitime l’acte du suicide. Il renforcit sa critique en démontrant que le suicide est un événement individuel à la fois unique et universelle. Il affirme que la seule place ou nous pouvons parler de suicide comme un problème c’est au niveau de la morale qui dicte que nous avons les mêmes intérêts. « Jamais la morale ne pourra juger de l’évènement individuel comme jamais la science ne pourra rentre compte de la dimension existentielle du suicide ». Si on comprend le lien entre l’expérience individuelle unique et d’altérité on comprend le point de vu de l’auteur. Ensuite l’auteur donne son point de vu personnel, en amènent un éthique de l’inquiétude. Une éthique de l’inquiétude qui est très négative sur la situation actuelle dans le monde. Il démontre son impuissance face à la question du suicide. Les seules conclusions claires et positives qui m’apparaissent démontrés sont celle ou il cite :« qu’il faut sans cesse repartir plutôt que de croire posséder le bonheur » ou celle « Nous somme dans la durée, répétons-le encore, dans l’inachevé et l’inachevable ». Il faut toujours tenir compte de la question du sens, accepter la vie comme elle est. Cornu donne sa définition de la philosophie : « je donnerai à croire que la philosophie a pour tâche d’apporter des solutions, alors qu’elle doit mettre en évidence les problèmes, affronter le questionnement, approcher le plus possible du mystère sans y aborder ». résume très bien l’essentiel de ses opinions. Quant à sa critique sur l’éthique de l’inquiétude et de l’espérance elle reste beaucoup plus personnelle et difficile à comprendre.
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Département de philosophie
Éthique et politique
Cours 340 DW-03
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Par
Dave Richard
Lundi 3 mai 04
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