Le doute marque t-il l'impuissance de la pensée
Par Raze • 30 Novembre 2017 • 1 072 Mots (5 Pages) • 607 Vues
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Pour résumer ces deux opinions, soit du doute résulterait l'inaction, l'ignorance et la paralysie soit il en résulterait une réflexion personnelle qui permettrait à l'individu de se méfier de choix prédéterminés. Alors pour marquer une pensée puissante, peut être faut-il penser autrement. Ce que pourrait être une pensée puissante, l'on pourrait imaginer de vastes connaissances, et donc éviter les moments mais tout de même une remise en cause systématique et donc un doute sur ses propres connaissances afin d'en acquérir encore plus et de pouvoir s'élever et affirmer une pensée encore plus puissante. Montaigne disait « Philosopher c'est douter », alors le doute peut être bénéfique sur la durée puisqu'il entraînera tout au long de sa vie des moments de réflexion interne, voir de philosophie. Ainsi pour un choix futur, ou le transfert de son propre bagage culturel à d'autres personnes le doute aura pu déclencher antérieurement la recherche d'une information de qualité. Une pensée puissante en définitive indique de ne pas être ignorant, de pouvoir répondre mais aussi de vouloir aller au-delà, alors à ce moment l'homme dans sa réflexion est épanoui, il peut répondre à beaucoup de choses, et se dire qu'il peut en savoir encore plus.
Pour conclure, le doute peut marquer soit la puissance soit l'impuissance en fonction de la personne qui pense et si cette personne a déjà ou non une culture ample. Les philosophes sont divisés et l'on peut penser aisément les deux options. La pensée ne peut être puissante que venant de soi même mais aussi de sources extérieures avérées. Alors cette alliance peut rendre le doute et la certitude fusionnelles dans la l'émancipation culturelle de l'homme.
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