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La conscience - cours terminale

Par   •  8 Juillet 2018  •  3 563 Mots (15 Pages)  •  555 Vues

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à SOI


2- L’expérience de conscience de soi (cs réfléchie)

découverte du sujet pensant comme source de toute représentation et toute connaissance

cs de soi : sujet : unité identité personne / permanence de l’identité à travers le temps

Kant évoque ce moment où l’homme « dispose du je dans sa représentation » -> ce moment où l’home rapporte ses actes ou ses pensées à lui-même comme à un sujet - Avant l’enfant ne parle pas de lui à la première prs…Entre enfance et vieillesse, l’homme change au pt qu’on peut remettre en cause la notion d’identité (je est un autre) voir d’unité de la personne (qu’on ai un moi) Pour Kant, ce qui fait l’unité de la conscience à travers tous les changements qui peuvent lui advenir - c’est ce je et c’est lui qui fait de nous une seule et même personne


((projet philo de Descartes : théorique / recherche de la vérité / veut construire un science universelle portant sur tous les aspects de la vérité : pour construire cette science : s’assurer d’une méthode qui lui garantisse la certitude de ses conn. -> En effet, D part du constat que la science + philo de son temps manquent de certitude - voire, se révèle fausse sur bien des aspects : Etat des connaissances - Projet : tout reconstruire depuis les fondements / Pour reconstruire sciences : commencer par fondement (métaphore de l’arbre) : aux racines : connaissance des fondements, des principes : métaphysique - tronc : loi de la native : la physique - fruits : médecine, morale, mécanique (sciences utiles à l’homme) 


Descartes, Discours de la Méthode (Partie IV)

texte de métaphysique

Recherche de la vérité : fondement absolument certains 
 COGITO ERGO SUM

Première vérité : premier principe certain _î _î _î

doute possible = rejet

Détruire de manière générale toutes les anciennes opinions sauf celles qui résistent : DOUTE METHODIQUE

sensations : pas fiables

raison + logique(math) : rejet probable?

• argumentation du rêve : toutes ses pensées ne peuvent s’appuier sur rien de réel : douteuses : illusion
• raison : math font apl à raison : faculté abstraite : math fondées sur raisonnement humain : pas assez fiable

Hypothèse de fiction - à quoi peut-on encore se fier

Certitude qui vient de nous, pas de la « réalité » : cogito ergo sum : vérité d’expérience

+ de certitude de propre existence que des choses, réalités extérieures

« je pense donc je suis » pensée : existence : de moi comme source de pensée

certitude // ce que je pense, contenu des pensées

seule certitude : expérience de cs de soi

substance pensante : être dont l’existence par soi-même, pensante parce que seule certitude, concernant existence est la Pensée

La pensée dans ce texte : exp. de conscience « par le mot de penser » j’entends tout ce qui se fait en nous de tel sorte que nous l’apercevons immédiatement nous-même

conscience : pensée : réflexion

cs de soi : connaissance de soi?

Ce texte permet à D de séparer un sujet du reste des choses considérées comme illusoire avec cette séparation, il peut se connaitre tel qu’il est : être pensant

Le doute permet à D de rompre avec le domaine de la croyance, càd toute pensée pas certaine

But du doute méthodique/métaphysique : avérer certitude ou éliminer

Donc impossible de douter de tout puisque derrière pensée du doute : sujet en train de douter

« La cs n’a pas de dedans » « ce qui la constitue c’est ce refus d’être substance » « elle est clair comme un grand vent(…) elle est ce qui nous jette hors de nous-même dans la poussière sèche du monde » JPS

« L’être intentionnnel » caractère de la cs de viser autre chose qu’elle-même, se projetter au-delà d’elle-même par des intentions : cs permet de se jeter ne dehors de soi - tout sauf retrait en moi…

L’intersubjectivité : les cs sont en relation avec les autres

De la même manière que les phén. qui critiquent ce retrait du monde (cogito)

critique faite = sujet de D n’a aucun rapport à autrui

Or pour Merleau-Ponty ou JPS, le rapport à l’autre - donnée immunble de la cs (pas innée)

JPS -> existence pour soi : être cs - pour autrui, avec autrui - Dire « je » = pouvoir penser « tut » …alter ego

Ainsi Sartre fait de l’existence d’autrui une donnée/condition de la cs

En même une condition de la conn. que je peux prendre de moi-même Ex Honte : montre que certains aspects de l’être ne peuvent se révéler que sous le regard de l’autre - en effet : part de moi-même : que seul autrui peut me révèler : part Objet — part à laquelle ma cs seule n’a pas accès

- Pour D : dans solitude qu’on prend cs

Pas de cs de soi sans cs d’être avec les autres, sous leur regard

Sartre : Autrui : « le médiateur indispensable entre moi et moi-même »

Rapport à autrui selon JPS : ALIENANT + nécessaire

autrui : découverte que le monde est aussi pour un autre - « glissement de tout l’univers »

(mort cachée de mes possibilité)

recherche de liberté en s’affirmant - être reconnu par l’autre comme sujet libre (1e approche de l’autre comme objet

II- L’hypothèse d’un psychisme inconscient : « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison » Freud
(Freud est amené à faire l’hypothèse à partir de son travail (hyst) sur l’incst parce que ses patients présentent des troubles physiques et psychiques - non explicables

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