Délinquance des enfants, culture générale

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-la première étape commence à partir de 1860 ou commence le début de la répression avec la création des premiers centres pénitentiaires pour mineurs (colonies pénitentiaires).

- la seconde étape commence au siècle suivant début 20éme siècles ou en 1912 on assiste à la création des premiers tribunaux pour enfants sans toute fois supprimer les colonies pénitentiaires.

- la troisième étape intervient en 1935 un an après la mutinerie des enfants à la Bell-ile-en mer ou nous assisterons cette fois ci à un assouplissement de la législation en dépénalisant le vagabondage des mineurs et la mise en place de mesures éducatives.

- la quatrième étape se déroule entre 1937-1938 ou les mineurs délinquants sont réinscrits dans le cycle pédagogique normal.

-cinquièmes et dernière étape c’est dans les années 1960 que l’on assiste enfin à un désengagement des institutions pour les références pénitentiaires (fermeture des colonies pénitentiaires).

4. Comparaison de documents

Les idées communes de ces trois documents sont :

Tout d’abord ils traitent tout les trois de la répression (maison de redressement ou colonies pénitentiaires) et de la délinquance des mineurs durant les siècles précédents (19eme siècles et 20 éme siècles).

On peut observer a travers ces textes que le poème de Jacques Prévert (document 1) et le texte sur le film (document 3) vont être essentiellement basés sur la maison de redressement de la Bell-ile-en mer sur les événements tragiques qu’il y a pu se passer. Pour le document 2 l’auteur va préférer nous raconter la façon de punir les jeunes délinquants durant 2 siècles en partant du début en 1860 et en finissant en 1960.

Les trois textes dénoncent également les conditions de vie des enfants qui sont épouvantable dans ces colonies pénitentiaire comme le dénonce Prévert (un surveillant lui a brisé les dents avec ses clefs, ils leur tirent dessus…) et Bourcquin (si un enfant n’obéit pas le dressage sera plus intense…) dans le résumé on apprend même que les enfants étaient en peur permanente et n’était plus la pour vivre mais pour survivre.

Enfin l’exclusion et l’enfermement des mineurs délinquants étaient privilégiés pour laisser place progressivement à l’éducation et à la prévention ce qui plu tard donnera naissance à de nombreuses reformes qui améliorons les droits de l’enfant.