Lieu réel ou fictif ou e rencontre l’offre et la demande d’un bien en vue d’un échange et de la formation du prix.
Par Plum05 • 12 Mars 2018 • 2 499 Mots (10 Pages) • 716 Vues
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Masse monétaire (M3) : La masse monétaire est la quantité totale de monnaie en circulation dans une économie à un moment donné. + M3, agrégat large, regroupe M2 et les instruments négociables émis par les IFM (Institutions Financières et Monétaires) telles que les OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières). C’est l’agrégat M3 qui est utilisé par la BCE pour mesurer la masse monétaire
Equation Fisher : L’équation de Fisher qui démontre que la vitesse de circulation de la monnaie est aussi source d’inflation :
M.V = P.T
M : masse monétaire en circulation
V : vitesse de circulation de la monnaie
P : prix ou inflation
T : volume des transactions.
Inflation par la demande : L’inflation par la demande de biens et services prend ici le relai de l’inflation causée par une hausse de la masse monétaire et la cause de l’inflation est ici réelle (c'est-à-dire non monétaire) et endogène (par opposition une cause exogène est par exemple une hausse du coût des matières premières).
Endogène/Exogène : (def en haut)
Relance par la demande : les monétaristes ont condamné les politiques keynésiennes de relance de l’économie par la demande, les qualifiant de politiques « inflationnistes ». De plus, l’injection des deniers publics dans le circuit économique conduit à un endettement de l’État
Effet éviction : auprès des banques pour financer le déficit budgétaire et d’autre part, produit une « éviction » des entreprises privées par l’état des flux de financement qui auraient dû leur être adressés
Anticipation rationnel : toute relance est mise en échec par l’anticipation des agents économiques (École des anticipations rationnelles) de la relance comme une future augmentation des impôts ce qui va les amener à diminuer leur consommation et donc à mettre en échec la relance elle-même, comportements difficilement réversibles par des effets d’annonce
Politique monétaire accommodantes : mener des politiques économiques monétaires restrictives (contraction de la masse monétaire en circulation) contraire aux politiques d’expansion de la masse monétaire des politiques keynésiennes ou politiques accommodantes.
Demande générale : Toutefois, pour les opposants au concept qui crée une inflation par la demande, le remède à flexibiliser l’offre de biens et services.
Expression « Sous-emploi de capacité de production » : Emploi d'un nombre de travailleurs inférieur au nombre total de la main d'œuvre disponible en partic., état d'une population active lorsqu'elle n'est pas occupée dans la pleine utilisation de sa capacité de production, soit sous forme de demandes d'emploi non satisfaites, soit sous forme de non utilisation partielle de la main d'œuvre employée.
Multiplicateur : La théorie du multiplicateur établit qu’un investissement additionnel produit un effet démultiplié sur le niveau de la production et de l’emploi.
Chapitre 3 :
Etat providence : Joue le rôle de régulateur de l’économie dans la redistribution des richesses et des revenus afin de répondre à des objectifs de « justice sociale »
Concentration : Lorsque le nombre d’entreprises diminue dans un secteur donné ou dans une branche et que par le jeu des regroupements la taille de celle-ci augmente *****************
Différent type de concentration :
-plan horizontale
-plan verticale
-plan congloméral
Différence répartition primaire et secondaire / ou redistribution : 1er : partage de la valeur ajoutée opérée par le marché. 2ème ou redistribution : opérée par l’état providence.
Externalité : lorsqu’un individu ou une entreprise réalise une action qui affecte directement d’autre individus au entreprises mais pour laquelle il ne paie ni ne reçoit de compensation
Bien public : est un bien qui peut être utilisé simultanément par plusieurs individus sans que la consommation de l’un ne réduise la consommation de l’autre ou l’exclu. une fois produit, il profite même à ceux qui ne sont pas disposé à payer
Economie d’échelle : rendement d’échelle croissant
Chapitre 4 :
Balance de paiement : mesure les échanges internationaux, c’est un document comptable dont la banque de France dans lequel sont registrés les flux réels, c'est-à-dire les opérations sur biens et services financier et monétaires entre un pays et le reste du monde pour une période donnée.
Différents éléments de la balance de paiement : Des opérations sur biens et services (compte des transactions courantes), financiers, (compte financier) et monétaires.
Monnaie constante : une monnaie ayant un pouvoir d'achat constant dans le temps. Sa valeur théorique est calculée pour une année donnée, et pour éliminer toute variation due à l'inflation ou la déflation.
Monnaie courante : La monnaie courante est celle à laquelle on à laisser le taux d’inflation.
Différence dépression/dévaluation :
Une forme grave de crise économique, consiste à une diminution importante et durable de la production et de la consommation.
La dévaluation est une mesure de politique économique prise par les autorités monétaires et qui consiste à modifier la parité de la monnaie nationale en en diminuant la valeur.
Les avantages des changes flottants : Permet une certaine autonomie des politiques monétaires, politiques monétaires des pays peuvent être plus flexibles.
Inconvenants des changes flottants : forte sensibilité du taux de change aux flux de capitaux.
Triangle des incompatibilités de Mundell : selon lequel, dans un contexte international, une économie nationale ne peut pas atteindre simultanément les trois objectifs suivants :
- avoir un régime de change fixe ;
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