Le commerce international cas

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C. Les nouvelles approches du commerce international

L’observation du commerce international montre un phénomène inconnu de Smith et de Ricardo : le commerce intra-branche càd les échanges entre 2 pays issus de la même branche industrielle. Par ex la France vend des voitures en Allemagne et l’Allemagne vend aussi des voitures en France. Or cela, est en contradiction avec la théorie traditionnelle du commerce. Il faut une autre explication. Un économiste a expliqué cela.

LASSUDRIE-DUCHENE explique le commerce intra-branche par une demande de différence aux yeux des consommateurs bien qu’appartenant à la même branche les produits peuvent être différents. C’est parce que aux yeux des consommateurs les voitures allemandes et françaises sont différentes, que les Français exportent des voitures en Allemagnes que les allemands exportent des voiture sen France. Certes les voitures que les allemands ns vend sont comme celles on vend en France mais il y a des différences entre les modèles.

Certains auteurs pensent que les avantages-comparatifs peuvent se construire. Certains pays peuvent choisir d’investir dans certains domaines pr acquérir des avantages comparatifs alors qu’ils n’en avaient ps été doter ds ce domaine par la nature. Certain pays peuvent être spécialisé ds des domaines ds lesquelles ils n’avaient pas d’avantage comparatifs car ils se les ont crée.

Finalement Paul KRUGMAN synthétise les bénéfices du libre-échange en 3 effets :

Effet de concurrence : la concurrence entre les producteurs au niv international aboutisse a des baisse de prix dont profitent les consommateurs

Effet de dimension : l’élargissement des marchés permis par l’internationalisation des échanges autorise l’apparition d’économies d’échelle càd la baisse des couts unitaires de productions qd les quantités produites augmentent.

Effet de diversification : les consommateurs ms également les producteurs pr leur approvisionnement, disposent d’une variété de biens plus larges.

II/ LA TENTATION PROTECTIONNISTE

A. La protection des industries nationales

LIST, au début du 19ème siècle recommande un protectionnisme éducateur temporaire pr protéger les jeunes industries le temps qu’elles acquièrent la taille suffisante pour se mesurer aux industries étrangères concurrentes au sein du commerce international.

Lassudrie-Duchene, presque que 200 ans plus tard, défend l’idée qu’une nation peut souhaiter développer de nouvelles spécialités qui ne sont pas basé sur une dotation factorielle. Il faut dc réalisé des investissements importants dans le secteur visé afin de pouvoir réaliser des économies d’échelle.

Un protectionnisme temporaire peut alors aider la jeune industrie à se développer.

Pour Samuelson, en 2006, la tentation protectionnisme se justifie à l’encontre de pays à bas salaire et imitateur de technologie qui souhaitent capter l’ensemble des bénéfices du libre-échange.

La tentation protectionnisme s’entend aussi dans le cas de la volonté de défendre des industries vieillissantes riches en emploi.

B. Une arme dangereuse

On pourrait être tentés en France de pratiquer le protectionnisme pour protéger l’industrie automobile ou textile.

Il y a un risque de riposte : s’il permet de réduire les importations, le protectionnisme va aussi réduire nos exportations du fait des mesures de riposte des pays qui en sont victimes.

Le protectionnisme remettrait en cause la division internationale du travail pratiqué par les firmes multinationales. En effet aujourd’hui, une part importante du commerce internationale est constituée par le commerce intra-firme càd entre les différentes filiales d’une firme multinationale. Si on freine le commerce international, on désorganise la production des FTM.

Le protectionnisme augmenterait les couts de production, des couts de réapprovisionnement qui se traduit par la baisse des marges des entreprises ou par la hausse des prix pour augmenter leur marge.

Aujourd’hui, le protectionnisme est également une arme limité pr la France dans la mesure où il ne peut pas s’appliquer en Europe qui a été créer précisément pour développer le libre-échange. Or le commerce français se fait à 2 tiers avec la zone euro. Si protectionnisme il y avait celui-ci ne s’appliquerait qu’à un tiers du commerce, ce qui limiterait son effet.

C. Les solutions possibles

La question n’est pas tant de choisir entre protectionnisme et libre-échange, mais de restaurer les conditions d’une concurrence plus équitable. Si les bas prix d’un pays proviennent d’un manquement aux règles de l’organisation inter du travail ou de pratiques destructrices de l’environnement, il faut envisager de taxer ses activités et ses pays pour le bien commun.

Enfin, il faut également que le pays soit capable de se doter de secteurs de pointe, de productions innovantes ou restaurer, conserver ou développer ses parts de marché.

Leçon 4 : Comment mesurer et stimuler la richesse ? Schémas 9 et 10

Objectif : - Appréhender la notion de PIB, ses limites et ses alternatives.

• Identifier les facteurs de croissance

I/ Le PIB et ses différentes approches

Le PIB est un agréât quantitatif qui est calculé par l’INSEE.

Le PIB mesure le flux de richesse nouvelles crées sur un territoire donné durant une période donnée, généralement l’année.

Il y a 3 façons de calculer le PIB.

• le PIB est la somme des valeurs ajoutées (l’approche par la production)

• le PIB est la somme des emplois finaux (l’approche par la demande)

• le PIB est la somme des revenus distribués (l’approche par les revenus)

A.