Le bien-être de l'économie dépend-il du marché ou de l'Etat?
Par Matt • 5 Octobre 2018 • 871 Mots (4 Pages) • 515 Vues
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inégalités, fixe des prix aux producteurs, pour que le produit soit accessibles a tous. Mais cela provoque un retrait des offreurs sur le marché, car il considère leurs bien a un prix plus élevé. La demande va donc être plus élevé que l’offre et cela créer une situation de pénurie et un développement du marché noir. Alors que le maintien de l’équilibre entre l’offre et la demande sur le marché est importante, c’est pour cela qu’il faut une bonne répartition de la flexibilité des prix. Mais les situations de pénurie l’empêche.
Par la suite on constate que les bien collectifs sont egalements acteur d’une défaillance du marché. D’apres Dominique Charpenier au travers un extrait d’alternatives économiques parut en 2003, il nous montres que ces services étant public profitent a tout le monde et donc peuvent en abuser sans payer ( la non-exclusion), puis le fait de consommer le service ne réduit pas disponibilité pour d’autres personnes ( la non-rivalité ). La non-exclusion conduit donc a la non-rivalité et a des service gratuit, cela ne relève donc pas le marché.
Mais il évoque également une défaillance du marché concernant les externalités négatives qui ne sont que peut pris en charge par l’état, comme l’autoroute qui fait du bruit pour les riverains et dont les rejet industrielle polluent. Il nous évoque alors les solutions qu’Arthur Pigou a évoqué, notamment imposer des normes aux contraignantes ou taxer leurs auteurs, de manière a ce qu’il y est une prise de conscience que des maux que leur activité impose aux autres.
Toutes ses prises en charges nécessites beaucoup d’investissements, et de l’argent que l’etat français ne peux plus gérer car, sous l’emprise de la crise et des dettes grandissantes. Selon le ministère de l’économie des Finances, la Dette publique en % du PIB, a augmenté de 13.6 point de pourcentage entre 2010 et 2014, et donc est passé de 1 632.5 à 2 037.8 milliard d’euros. La société ce retrouve alors avec plus d’impôts, il passe de 41,3 % EN 2010 a 46.1 % en 2014. Les erreurs de l’état on donc des répercussions sur la population .
Nous voyons donc que le dilemme n’est pas près d’être tranché car l’état fais des choses bien tout comme pas et la question reste encore a débattre.
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