Equité en emploi/ équité salariale
Par jafra70 • 3 Avril 2022 • Cours • 1 648 Mots (7 Pages) • 1 008 Vues
RIN 1025 |
Équité en emploi – Équité salariale |
Travail noté 1 Série K Feuille d’identité |
NOM Francois | PRÉNOM Jacques |
NUMÉRO D’ÉTUDIANT 21189465 | TRIMESTRE Hiver |
ADRESSE | |
| CODE POSTAL |
TÉLÉPHONE DOMICILE | TRAVAIL |
CELLULAIRE | |
COURRIEL NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Alexandre Ross | |
DATE D’ENVOI 15 Janvier 2022 | |
Réservé à l’usage de la personne tutrice | |
DATE DE RÉCEPTION | DATE DE RETOUR |
NOTE | |
[pic 1]
MISE EN CONTEXTE
Vous avez eu l’occasion de lire à la semaine 3 le cas : La saga judiciaire opposant Gaz Métro à Action travail des femmes et de répondre à certaines questions. En voici une autre.
- En quoi les éléments discriminatoires mis en évidence en réponse à la question 3 (activités de la semaine 3) favorisent-ils les personnes membres de la majorité déjà présente? (2 points)
La majorité déjà présente sont des hommes avec peu de formation. Les hommes et les femmes ayant moins qu’un secondaire 5 sont sous qualifiés. Les statistiques montrent qu’ils sont moins actifs sur le marché du travail. Les hommes de cette catégorie sont beaucoup plus en emploie que les femmes du même niveau. Il est aisé de comprendre que les mesures discriminatoires dans cette compagnie favorisent leur accès ă l’emploi, ce qui serait considérablement réduit si des femmes ayant le même niveau de formation pourraient désormais accéder à ces postes.
Vous avez eu l’occasion de lire à la semaine 3 le cas : Les médecins diplômés hors du Canada et des États-Unis et de répondre à certaines questions. En voici une autre.
- Que peut-on proposer aux facultés de médecine d’ajouter pour améliorer la représentation des médecins DHCEU? Souvenez-vous que des mesures d’action positive sont déjà implantées. Proposez des mesures qui n’existent pas déjà. (2 points)
Réponse
Les facultés de médecine pourraient :
- Revoir et uniformiser les instruments d’évaluation et les critères de sélection des candidats lors des demandes d’admission de sorte que ces critères aient un lien avec la fonction future du résident, ne discriminent pas les candidats formés au Québec au détriment des DHCEU et montrent un effort d’accommodement. Si l’évaluation d’un critère dans le dossier d’un candidat permet à ce dernier d’obtenir des points, il faudra qu’il soit suffisamment défini et aboutit aux mêmes décisions indépendamment des universités et des évaluateurs. Cela laissera moins de place ā la discrimination et facilitera un processus plus équitable.
- Avoir un accommodement sur le critère de l’éloignement aux études, qui permettrait de créditer au candidat DHCEU le temps qui a été absorbé par le processus d’immigration et l’obtention de l’équivalence du Collège des médecins du Québec (CMQ). Cette période pendant laquelle ce derniers ne détient pas de permis d’exercice devrait être exonéré dans le calcul de l’éloignement. Ceci aurait pour but de réduire l’écart disproportionné entre lui et un autre venant d’une université de médecine du Québec
- Rendre disponible sur internet un calendrier annuel de séance d’information sur les admissions. Ces séances d’informations peuvent être en présentielles et/ou en virtuelles pour permettre aux candidats DHCEU de détenir au moment de leur demande d’admission des même bagages informationnels que ceux des universités du Québec.
QUESTIONS DE COMPRÉHENSION
- a) Indépendamment du sexe, peut-on lier taux de chômage et scolarité? (1 point)
Sans tenir compte du sexe on voit qu’il y a un impact important de la scolarité sur le taux de chômage. Moins que les individus ont fait d’études, plus que l’on parle de sous qualification et plus que le taux de chômage est élevé dans cette catégorie. Nous nous sommes ainsi basés sur les statistiques relatives au taux d’emploi car le taux d’activités serait un mauvais indicateur puisqu’il englobe autant les gens à l’emploie que les chômeurs. ’’ Le niveau d’études joue un rôle important dans le taux d’emploi et module l’effet du sexe. Le taux d’emploi varie en effet beaucoup d’un niveau d’études à l’autre. En général, sans égard au sexe, les personnes les plus scolarisées affichent les taux d’emploi les plus élevés. En revanche, chez les personnes qui n’ont pas de diplôme d’études secondaires, l’emploi plafonne’’[1]
b) Et si on tient compte du sexe, que devient la relation que vous avez établie en a)? (2 points)
. En tenant compte du sexe, on remarque selon les statistiques que ‘’plus le niveau d’études est élevé, plus les écarts de taux d’emploi entre homme et femme diminuent ‘’. Cependant dans la catégorie des gens ayant seulement ou pas du tout la cinquième année du secondaire il y a alors plus d’homme que de femmes à occuper un emploi. Cette situation se lit assez bien dans le tableau 11 du document Portrait statistiques du marché de l’emploie au Québec. Elle se lit à travers les écarts entre les taux d’emploie entre homme et femmes selon la scolarité.
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