Demain les territoires, Martin Vanier

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Il donne des exemple d'oligopoles de l'eau et des transports qui montre que c'est l'affirmation politique de territoire donc de décentralisation

III- Extension du domaine du capitalisme réticulaire

Malgré une impression de baisse d'utilisation de ce capitalisme avec une phase de privatisation dans les années 1990-2000, il y a en réalité un changement dans les marchés. - les nouveaux marchés du durable avec le marché du vélo urbain en libre service. Transformation des transports servis par infrastructures mtn par des organisations. C'est aussi le cas pour les projets de "ville durable" et "ville intelligente" ainsi que la ville réseau qui développe la fibre optique et les offres numériques

- l'aménagement numérique : dvpt fibre optique et trés haut débit ex Orange

Il se demande alors si l'affirmation des territoires aurait eu comme seule raison de leur offrir un marché leur permettant de se déployer dans les domaines vus précedemment.

IV- Les ex-monopoles d'Etat en quête de territoires

A priori pas une entreprise capitaliste mais relations avec oligopoles. Ils ont une mission d'intérêt général pendant longtemps sans faire de différenciation entre les territoires. Mais la décentralisation, l'ouverture à la concurrence ainsi que les évolutions technologiques changent cela. Il prend trois exemples: celui de la Poste, la SNCF et EDF qui doivent s'adapter et utiliser de nouvelles stratégies pour continuer à être attractif

D'après l'auteur, le capitalisme réticulaire amène à gérer un espace politique nouveau, gérer les réseaux c'est aussi gérer les territoires qui y contribuent.

V- capitalisme réticulaire et espace politique

Il remarque que l'Etat prend une place importante dans ces firmes. Il constate également que la relation entre ces firmes de réseaux, les teritoires et les collectivités sont instables et ceux pour trois raisons d'après lui. conflit

- le mix entre privé et public qui doit être débattu pour lui, concurrence/position de quasi monopole

-vision locale / globale

- flux/fixe

VI- L'anesthésie polq des réseaux

Saint-Simon a définit les réseaux avec une vision sociale: pour lui c'est vecteur de mutation économique mais cela crée un nouvel ordre social fondé sur l'association universelle, réconciliatrice et morale. Deux perspectives difficiles à concilier: idée que l'Etat au service de l'industrialisation et celle fédéralisme égalitaire ac l mvt ouvrier

= K réticulaire c/ mvt coopératif et mutualiste des ouvriers

Au XXIème siècle, il y a une tension entre le capital et les services, cela implique que les réseaux au delà du territoires doivent prolonger l'espace politique. Les réseaux sont devenus des organisations sociales avec un fort potentiel politique. Pour lui, l'anesthésie politique de sréeseaux est du à trois oppositions: -idée que le teritoire serait l'expression du collectif et les réseaux l'expression de l'individu

-le territoire serait une affaire publique alors que le réseau est vue comme une organisation d'intérêt privé

- le territoire aurait alors le monopole du politique et les réseaux serait simplement à son service

En conclusion, il propose une alernative, il prone une troisième voie qui serait un hybride entre le pouvoir des territoires et la puissance des réseaux qu'il désigne par "réticulo-territoriale" ou "territorialo réticulaire"

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