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Adm 1002 - entreprise Maynard

Par   •  28 Juin 2018  •  2 365 Mots (10 Pages)  •  878 Vues

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Les premiers changements à effectuer auprès des cadres serait d’encourager l’initiative de la part des employés. Je crois que l’instauration d’une gestion participative serait très lucrative pour l’entreprise. Donc, il faudra « que la direction détermine, d’une façon claire et précise, les objectifs organisationnels et que ces derniers soient communiqués de manière que chaque employé en soit bien informé » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 377). En utilisant cette forme de gestion, les employés deviendraient motivés par leurs nouvelles responsabilités.

Également, mettre en place un système de communication et de partage d’informations efficace et accessible pour tous les employés est une priorité. Il semblerait que les notes manuscrites soient encore la méthode privilégiée pour transmettre de l’information. Je crois que l’implantation d’une messagerie électronique serait beaucoup plus efficace et transparente. Cela permettrait de transmettre rapidement de l’information directement aux personnes concernées et cela éviterait que l’information se perde avant d’atteindre le bon destinataire.

Au niveau stratégique, leur premier objectif serait sans doute de s’attaquer à l’état des lieux du magasin. Voir la possibilité d’investir dans la restructuration et la modernisation du magasin et mettre en place un système qui permettra de garder les lieux propres. Je crois qu’il serait judicieux de faire participer les employés pour prendre les meilleures décisions pour le réaménagement des lieux, puisque c’est eux qui travaillent dans cet environnement et qu’ils sont, sans doute, les meilleures personnes pour connaître les améliorations à y apporter. De plus, les employés se sentiront impliqués et cela améliorera la production et le climat de travail. « Il est évident que des employés motivés et satisfaits, adhérant au projet collectif qu’est l’entreprise, seront plus enclins à se responsabilité et à pratiquer l’autocontrôle » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 369). « Les recherches (de Miles indique) que l’autocontrôle peut augmenter à la fois la motivation et la productivité du personnel d’exécution » (Miles, 1980).

Au niveau opérationnel, il est impératif de mettre en place une formation structurée, mais également de la formation pour du perfectionnement. « La formation a pour objectif de déclencher un changement dans les attitudes individuelles ou collectives » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 374). La formation devrait inclure des procédures d’accueil au sein de l’entreprise, une formation au niveau des tâches à accomplir et les attentes que l’entreprise a envers leur nouvel employé.

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4. Quand, comment et avec qui mettez-vous en œuvre les solutions pour résoudre les situations problématiques de ce cas ?

En définitive, beaucoup de changement sera nécessaire au sein de l’entreprise. De la part des employés, je crois qu’ils seront accueillis de façon favorable. Par contre, bien que les changements mis de l’avant soient bénéfiques pour l’organisation, l’entreprise devra sans doute faire face à une résistance aux changements de la part des membres de la gestion. Ce qui peut être problématique puisque ce sont eux qui doivent intégrer les changements. « Le rôle des cadres est considérable au moment de l’introduction du changement » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 307). Donc, l’importance d’une formation adéquate pour initier les cadres à l’intégration de changement au sein de l’entreprise est primordiale, car « leurs actions inadaptées peuvent être l’expression consciente ou inconsciente de leur refus de s’engager véritablement » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 307) et cela envoie un mauvais message aux employés. « Les gestionnaires doivent également comprendre que le fait de provoquer volontairement le changement est de loin préférable à l’attitude attentiste voulant qu’on instaure le changement uniquement en fonction des nécessités du moment et de façon centralisée » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p. 307). Les gestionnaires doivent prendre conscience des avantages d’une gestion participative. Une fois que les gestionnaires ont été formés, la prochaine étape est de mettre en place un comité composé par un employé de chaque échelon hiérarchique pour le réaménagement des lieux. De cette façon, différents points de vue seront pris en compte pour prendre les meilleures décisions. Alors qu’une équipe de gestionnaire devra se pencher sur la nécessité d’établir des normes et des procédures lors d’embauche de nouveaux employés.

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5. Quels sont les enseignements que révèle ce cas pour l’exercice du métier de gestionnaire ?

À la lecture de ce cas, nous voyons clairement que le rôle des gestionnaires dans une organisation est d’une importance capitale. Leur attitude et leur façon de diriger influenceront négativement ou positivement le climat de travail qui aura un impact direct sur la prospérité de l’entreprise.

Ce cas démontre à quel point il est important d’être à l’écoute des travailleurs, mais surtout être ouvert aux changements et à l’innovation. Ne pas avoir peur de l’inconnue, mais plutôt de voir cela comme de nouveaux défis, pour ne cesser de s’améliorer. Également, il est démontré l’importance de la présence d’un bon leader qui saura encourager, influencer et diriger les employés vers des objectifs à atteindre tout en leur laissant le droit à la parole, à leurs opinions et leur donner l’opportunité de participer dans la mesure du possible, à la réalisation d’objectif. En fait, ils sont une source importante d’informations et d’idées.

J’ai toujours su par expérience que les employés sont la plus grande richesse d’une entreprise. C’est en grande partie grâce à eux que l’entreprise peut fonctionner de façon lucrative. Par contre, il n’est pas toujours évident de satisfaire les travailleurs, car peu importe le niveau hiérarchique occupé, le gestionnaire aura toujours des comptes à rendre, soit à un patron, à l’État ou encore des actionnaires. La ligne est parfois très mince pour réussir à garder l’équilibre entre toutes ces parties. Mais je crois qu’un bon gestionnaire arrive à jongler avec les besoins de l’entreprise, des employés, des actionnaires, des patrons, de l’État, etc.

Durant ce cours, j’ai appris qu’il existait plusieurs styles de gestion. Selon moi, aucun de ces styles de gestion ne se doit

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