Thucydide, La guerre du Péloponnèse
Par Ramy • 21 Novembre 2018 • 1 476 Mots (6 Pages) • 401 Vues
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9 et 10 ).
Comme l’a expliquer Démarate dans le texte Hérodote, le citoyen grec est libre mais il est soumis à des lois ce n’est pas une contradiction car seule la cité permet d’organiser la liberté (pour eux la loi permet de vivre en harmonie) et les citoyens grecs se soumettent librement aux lois.
Maintenant, pour appuyer les propos précédent nous allons aborder un autre exemple de model d’obéissance hiérarchique.
« nous obéissons toujours aux magistrats et aux lois » ( ligne 10 )
La volonté des individu à se placer sous une loi commune vivre ensemble qui va définir la cité. Ce qui distingue les grecs des autres.Les grecs ne pouvaient pas concevoir de vie sociale en dehors de la cité. En effet, si jamais les citoyens ne respectent pas les lois, ils risquent de plus avoir le titre de citoyen et ce qui reprennent pour eux comme une perte de l’humanité.
Péricles montre à quel point il idéalise la cité d’Athènes sans même faire appelle à elle du fait qu’il fait l’éloge de sa constitution. Cependant cet éloge est un peu trop surréaliste à quelques moments, et peut paraitre méprisant pour la cité voisine, qui ici est Sparte du fait que Athènes est en conflit avec cette dernière.
Un mépris de la constitution politique voisine ( grand II )
a) un mépris politique
« Notre constitution politique n’a rien à envier aux lois qui régissent nos voisins loin d’imiter les autres, nous donnons l’exemple à suivre » ( Ligne 1 et 2 )
Pour ce qui est de la constitution sparte, les citoyens spartiates vont s’appeler les égaux, il faut être née de parents spartiates, payer sa cotisation au repas commun il faut avoir subit une éducation militaire.
Il y’a aussi une égalité de fortune, les nobles ont abandonnés leurs terres, elles seront par la suite redistribués entre les égaux. De ce point de vue la, la cité sparte à l’air plus égale entre les citoyens. Les pauvres peuvent devenir riches, il y a une progression possible tandis que dans la cité d’Athènes les plus pauvres resteront toujours très pauvres et les plus riches le resteront aussi. Il n’y a pas de solidarité du peuple.
Voici un autre exemple de mépris politique que l’auteur reprend :
« Du fait que l’Etat, chez nous, est administré dans l’intérêt de la masse et non d’une minorité »
Ici, l’auteur emploie des termes méprisant. En effet, le fait qu’il utilise les mots « chez nous » montre que ce qui est dis après ne s’applique pas aux cités voisines et donc aux spartiates, ce qui a un coté méprisant car la cité sparte est à cette époque diriger par une combinaison d’oligarchie : qui correspond aux pouvoirs de quelques citoyens mais pas tous, par une royauté : 2rois diriges aussi la coté, ce sont des plus anciennes famille. Puis aussi avec un peu de démocratie : égalité entre citoyens. Ce que dis Thucydide est un peu exagérer car sparte ne gouverne pas que pour un intérêt personnel mais aussi pour l’intérêt de tous les citoyens.
Cela montre bien que Thucydide valorise politiquement une cité, en dépit d’une autre. Il a fait de même militairement comme nous pouvons le voir ci dessous :
b) un mépris militaire
« s’il agit à sa tête ; enfin nous n’usons pas de ces humiliations qui, pour n’entrainer aucune perte matérielle » ( ligne 7 et 8 )
L’auteur évoque un total mépris envers les voisins athénien. En effet, au vu du conflit athéno-sparte il est évident que les propos ci-dessus insinuent que c’est les Spartiates qui ont déclarés la guerre aux Athéniens alors que l’histoire ne se déroule pas vraiment comme ça. Ainsi, la cité d’Athènes prétend contrôler une partie du centre et du nord de la Grèce pour cela un conflit éclate entre les deux cités
Maintenant, nous allons voir un autre exemple du mépris militaire :
« nous ne nous irritons pas contre le voisin » ( ligne 7 ).
Ici, le discours de Thucydide est un peu surréaliste au vue de ce qui s’est passé durant la guerre entre les deux cités : Athènes et Sparte. En effet il faut rappeler que c’est la cité d’Athènes qui a décider de s’accaparer une partie du centre et du nord de la Grèce. Les Athéniens devaient pertinemment savoir que les Spartiates n’allaient pas apprécies ce geste. De ce point de vue, ils l’est ont donc provoqués. La phrase de Pericles est un peu trop idéalisé.
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