Système scolastique

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De la même manière, un homme issu d’un milieu scolastique, aura la possibilité de développé d’avantage ses goûts. Puisque cette personne à plus de temps pour ses loisirs il aura alors plus de temps pour les approfondir. Ainsi il aura des goûts plus affirmés, voire plus raffinés. Comme chez les musiciens résultant du conservatoire, qui on une ouverture plus large sur la monde musical, qu’une personne lambda est moins susceptible d’acquérir.

Pour finir, l’apprentissage des mythes et valeur d’un groupe, permet à celui d’avoir des raisonnements qui le pousseront à faire des choix de raison et non être poussé par une pulsion ou être diriger par nos émotions.

Question 7 : En quoi est-il possible de dire que la « culture » si elle est réduite à la « Grande culture » (expliquer ce terme) constitue au moins autant une barrière qu’un pont entre les groupes scolastiques et populaires ? Utiliser au choix l’exemple de : Ecole, beaux-arts, musée.

Nous ne sommes pas tous égaux face à la culture. En effet, il existe encore des barrières sociales à l’apprentissage et à l’accès à l’art. De plus, la création d’une culture élitiste, accentue ce phénomène. Il en découle le terme de « Grande culture » c'est-à-dire privilégier une culture plutôt qu’une autre. Par exemple, dire que Bach est un meilleur compositeur que Michael Jackson, qu’Albert Camus est supérieur J.K Rowling.

Nous pouvons constater qu’il existe encore des inégalités quant à l’accès à la « Grande culture ». Nous observons que les individus issus des différentes classes sociales ont tendance à rester au sein de leur groupe. In fine, les groupes scolastiques et les groupes populaires se mélangent peu. De plus les personnes natives des classes populaires n’ont pas les mêmes activités, et pas le même accès aux activités que les groupes plus aisés (on constate qu’un ouvrier va rarement à l’opéra (rapport du ministère de la culture française). Leur milieu de favorise pas la curiosité intellectuelle et la recherche car ils ont des besoins plus immédiats auxquels ils doivent répondre. En raison de leur revenu, les milieux défavorisés n’ont pas accès à certaines activités culturelles tels que le théâtre, l’opéra, les concerts… Par ailleurs le fait que certaines activités soient connotées, n’aide pas à réduire les difficultés d’accès. L’opéra est encore très associé à une élite, ainsi les individus moins dotés ne pensent pas pouvoir approcher ce milieu (le lieu également peu effrayer « vais-je bien me comporter », « suis-je bien habiller pour aller à l’opéra »).

Cependant nous avons pu remarquer que la fréquentation des lieux de culture est un atout pour les jeunes dans leur parcours scolaire et professionnel. C’est ainsi que nous observons que les institutions d’enseignements permettent aux élèves de développer leur créativité qui par la suite pourront tendre à se libérer des conventions établies. L’école, lieu de mixité et d’échange est un endroit primordial dans l’apprentissage de la « grande culture », l’apprentissage de l’autre et ainsi amoindrir les inégalités. Dès lors on peut apercevoir qu’il y a moins de préjugés entre les différentes classes, ils font partis du même univers scolaire. Aujourd’hui l’accès à la culture est plus simple pour les jeunes, les musées sont gratuits une fois par mois, ce qui permet aux étudiants de tendre à vers un autre univers que celui dans lequel ils ont évolué. La connaissance permet aussi de développer sa personnalité, ses goûts et ainsi mieux s’affirmer dans la société.