Plainte.

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J'ai acquis la terre et même la responsabilité de ma part de respecter la vente simulée, à savoir sans exercer des actes de disposition, devant la loi, je suis le seul vrai propriétaire de la propriété, en ayant opposable au troisième document, faire des conversations avec les citoyens ARMENTA GUILLERMO QUINTERO, de procéder à l'acquisition de la propriété en arrière, à savoir qu'il paie ce qu'il devait, mais par arrangement entre nous. La bonne chose serait payer le capital plus les intérêts et autres ajuster l'indexation du capital, de sorte que le citoyen ni un désavantage, mais le citoyen m'a renvoyé fait une disproportionnelle et même descorcentante offre, m'a alors dit de revenir à ma propriété valeur actuelle de celui-ci; à qui, évidemment, ne sont pas d'accord; Je dérange même, je trouve abusif et grotesque; cependant, me voyant descendre pour avoir donné mon consentement à vendre la propriété par le biais d'un document privé et afin d'éviter des problèmes dans la société et mon voisin, d'une certaine manière convenue, car de toute évidence voulu ma propriété, donc je décidé de louer les services de un nom évaluateur XXXXX expert, qui m'a fait une évaluation de la propriété, qui, selon ses calculs, a procédé à l'évaluation du montant de TRENTE SIX MILLIONS bolivars (Bs. 36,000,000.00), qui semble extraordinairement excessive pour le paiement de soixante mille bolivars (Bs. 60,000.00), qui, avant la conversion des devises équivalant à soixante millions de bolivars (Bs. 60,000,000.00) pour 2004, corrigé de l'inflation encore et même payer le intérêt simple à 1% de doute mensuelle qui atteignent plus de cinq cent mille bolivars (Bs 500,000.00.) valeur; mais le pire de lui et me forçant à effectuer l'activation des tribunaux, était que le citoyen GUILLERMO ARMENTA QUINTERO, a également procédé à louer les services d'un évaluateur, qui a déterminé que le bâtiment a tenu une valeur de deux cent quatre-vingt millions de bolivars (Bs. 280,000,000.00), et de ce fait, le citoyen GUILLERMO QUINTERO ARMENTA m'a dit que ce ne serait pas accepter moins que la propriété à retornarme accordée document privé encore la vente et toute autre garantie de vente simulé d'un prêt. Même il m'a dit que si je ne reçois pas beaucoup d'argent, alors il passerait à exiger la reconnaissance du contenu et de la signature du document, puis en disposer à eux-mêmes.

Dans cette situation m'a donné une profonde dépression, j'ai demandé l'intervention d'un avocat et après quelques rencontres avec les citoyens GUILLERMO QUINTERO ARMENTA, nous avons pas trouvé d'accord, beaucoup à mon avocat m'a expliqué que: 1) le document a été privé ; 2) le document a été simulé pour être une négociation derrière lui, car il était un prêt à long terme pratiquement; 3) le citoyen ARMENTA GUILLERMO QUINTERO, étaient de nationalité colombienne et par la loi, ce citoyen a été interdit de détenir des biens dans la frontière et donc le document encore reconnu ne pouvait pas protocolizarlo beaucoup moins en disposer; Cependant, en réponse à mon honneur et ma réputation, je reconnais devant cette cour mon intention de ne pas payer le capital, ni l'intérêt et le principal corrigé de l'inflation, mais reconnaître le citoyen GUILLERMO QUINTERO ARMENTA, volontairement, donner le montant de cinq millions de bolivars (Bs 5,000,000.00.), ce qui est plus de 1000% du montant principal impayé ajusté pour l'inflation et les intérêts légaux à 1% par mois de Janvier 2004 à ce jour; pour lequel, en parallèle avec cette action, je vais faire l'offre respective correspondante réelle dans les mêmes arguments ici bulldozer faute de ma volonté de vendre, même en ayant la nécessité de vendre la propriété, mais fournir des garanties sous la forme d'un document privé qui simule une vente, mais en réalité, bien que dans ce document est exprimé pour donner possession, consigner avec cette diffamatoire, marquée par la lettre "C", l'inspection judiciaire prouvant la possession I J'exercé les sous-sol et au premier étage de la propriété donnée fictive vente aux citoyens ARMENTA GUILLERMO QUINTERO.

Je crois que la quantité offerte par moi est plus que suffisant pour satisfaire le montant qu'il m'a donné en cohérence prêt soixante millions de bolivars (Bs. 60,000,000) pour 2004, ce qui équivaut à la monnaie traduction SOIXANTE MILLE bolivars (Bs. 60,000.00). Qui, si ajustásemos pour l'inflation jusqu'à aujourd'hui et au-dessus que vous calculáramos la capitale historique un total de 1% d'intérêt mensuel juridique, ce montant ne peut pas atteindre cinq cent mille bolivars (Bs. 500,000.00), mais reconnaissant le fléau de l'inflation et dans le but de contribuer à la paix sociale entre moi et mon voisin, est que je vous offre le montant de cinq millions de bolivars (Bs. 5.000.000,00), ce qui est une bonne quantité, y compris généreuse de ma part, de détruire le document privé qui contient moquer de la vente d'un immeuble de ma propriété, mon vrai ne sera pas le jeter.

Mais mon offre, mais le fil de l'action envisagée, je dois souligner un certain nombre de circonstances, telles que des présomptions ou peut démontrer que le document privé en date du 21 Janvier 2004, signé entre moi-même et le citoyen GUILLERMO ARMENTA QUINTERO, est viciée par simulation.

Pour le mois de Janvier 2004, le bâtiment lui-même n'a pas le contenu de cette valeur du document depuis cette date, le montant de soixante millions de bolivars (Bs. 60,000,000.00), qui est devenu la conversion des devises soit SOIXANTE mille bolivars (Bs. 60,000.00), elle constituait un prix avantageux constituant toujours les mêmes améliorations construites sur des terres de l'ejido et il va prouver à la Cour dans le stade de la procédure respective par expertise.

Je suis resté en possession de la propriété, qui est allé ensuite à avoir deux (2) trois (3) étages du bâtiment offert Sham à vendre, même depuis 2004, m'a été qui a payé les frais d'entretien l'ensemble de la propriété, je payé la terre et les autres dépenses municipales, ont payé depuis 2004 et l'eau claire ou approvisionnement en eau potable et l'énergie électrique, ce qui est la preuve que je ne cesse de le posséder.

Aussi bien entre les citoyens GUILLERMO QUINTERO ARMENTA et moi-même ne nous partageons une relation familiale, si nous sommes voisins et cela est évident à partir de la formulation du même document simulé la vente, parce que la partie lorsque les limites