Etude sectorielle SAP
Par Ramy • 9 Juillet 2018 • 987 Mots (4 Pages) • 540 Vues
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Le marché couvert :
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Nous avons interrogé des commerçants du marché qui nous on expliquer qu’ils étaient installés pour la plus part depuis longtemps, tous connaissent l’histoire du marché et son évolution dans le temps. Ce sont principalement des affaires familiales nous avons discuté avec un père et son fils, l’un boucher depuis 1961 et l’autre patron d’un bistrot depuis 20 ans.
Le fils Simon patron du bistrot « Je suis installé depuis un moment, ici c’est un peu une affaire de famille mon père possède un stand juste derrière si vous voulez aller le voir ; il est boucher. Ici les clients viennent essentiellement le mercredi et le samedi la semaine on voit beaucoup moins de monde mais certains de nos clients nous sont fidèle depuis au moins 15 ans, ce sont majoritairement des habitants qui sont à côté du marché ou des bobos a la recherche de produits frais et bizarrement c’est un peu la mode en ce moment »
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Les rues avoisinant le marché rassemblent plus de professions libérales et plus de magasins que les rues avoisinant la maison St Lazare. On y trouve des cabinets d’avocat, d’expertise comptable, des studios de photographes, des entreprises de BTP, beaucoup plus de restaurations (cafés, bar, brasserie …)
Ainsi de chaque côté des rues nous pouvons voir des façades semblables à celle-ci :
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AVIS DE GROUPE :
Le quartier du 10 eme arrondissement garde les traces du passé au niveau de son architecture pauvre et épurée (ancien quartier ouvrier) cependant on note ces dernières années, que des aménagements ont été apportés tel que l’architecture haussmannienne, de nouveau magasins, une hausse de l’activité, le quartier est devenu plus marqué par une population « Bobo » malgré tout l’histoire et son passé reste prépondérant. Si on regarde bien chaque recoin de Paris (ici le 10 eme) raconte un histoire …
CONCLUSION :
Pour conclure, la Prison Saint Lazare et le marché Saint Quentin renferment une histoire pleine de rebondissements. Pour les deux cas, ces constructions hébergent en leurs murs un témoignage du passé par ses occupants différents, ses activités différentes, l’édifice reste le même mais ce qu’il y a eu à l’intérieur a évolué au cours du temps.
GROUPE 4 : Emie MOREL D’ARLEUX – Victoria LOPES – Sarankan JEYAKUMAR – Jean RODDIER
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