La princesse et le mendiant
Par Ninoka • 21 Août 2018 • 1 253 Mots (6 Pages) • 1 071 Vues
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À cet instant précis, la princesse d’Ablon-sur-Seine comprit que durant toute sa vie, elle était passée à côté de quelque chose d’important. La paix ainsi que la sécurité furent immédiatement ressenties. Elle s’apaisa en une fraction de secondes. À partir de ce moment, la peur ne fut plus jamais un problème pour Sofia. Chaque dimanche matin, elle se rendit à l’église, accompagnée du mendiant. De plus, elle décida d’aider tous les clochards du village. Elle continua de fréquenter l’église, puis raconta à ses enfants ainsi que ses petits enfants l’histoire merveilleuse qui lui permit de croire en un être aussi exceptionnel, Dieu. [pic 8]
Partie 2 – Réflexion
Propos : Le fait de croire en Dieu apporte la paix et la sécurité.
(Les 3 procédés d’écriture sont soulignés et identifiés dans le texte)
Procédé #1 : L’utilisation d’adjectifs tels «loup noir», «yeux dorés» et «longues pattes fournies». Ces quatre adjectifs exprimant des caractéristiques physiques permettent au lecteur de mieux imaginer à quoi le loup ressemble.
Procédé #2 : La comparaison : «prêt à bondir comme un lion sur sa proie». Les lions sont réputés pour faire honneur à leurs proies. Ils les guettent puis sautent dessus sauvagement. Le fait de rapprocher le côté sauvage du lion avec sa proie et le loup qui regarde Sofia crée une image. Il est donc plus facile de visualiser à quel point le loup a l’air féroce.
Procédé #3 : La gradation : «cet édifice, ce lieu Saint, la maison de Dieu». L’ordre des mots amplifie l’importance du lieu qu’est l’église dans le conte. Les mots vont du «plus général» au «plus spécifique», «plus important». C’est ce qui permet de qualifier ce procédé de gradation.
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