Cris Laurent Gaudé
Par Plum05 • 30 Janvier 2018 • 934 Mots (4 Pages) • 1 135 Vues
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J'étais dans un bon état d’esprit lorsque que j'ai commencé à le lire car le livre n'est pas trop long, ce qui ne m'as pas démotivé au contraire j'étais plutôt pressé.
Le faite de changer tout le temps de personnages m'as un peut perturbé au début mais petit à petit ça rendait le livre plutôt intéressant. J'ai bien aimé le faite de retrouver la même histoire vu par plusieurs personnes.
Le faite qu'on retrouve quasiment tout les acteurs de la guerre (soldats, ennemis, lieutenant, médecins) nous donne une impression de réel de vrais témoignage.
J'ai bien aimé le personnage Jules car il nous renseigne sur leur réaction leur vie après la guerre, même si il ne quitte le front seulement pour 7 jours c'est ce qui se passe lorsque la guerre est fini et que les soldats rentrent. (cf : impression de vrai)
A la page 69 j'ai observé une personnification du siècle: « nouveau née » « rugit », « vomi », « rots ». Ligne 1 à 14 sentiment étrange incompréhension.
P.62 - 63 Mort du lieutenant personnage dur d'apparence mais la mort montre le vrais visage, retour à la réalité.
P.77 scène choquante: Barboni tu le prisonnier allemand, violence du geste et symbolique du ciel comme si c'était le dirigent de la guerre.
- Arrêt lecture (p. 87 à la fin)
J'ai bien aimé la solidarité entre les personnages Boris et Marius. Leur escapade de folie pour retrouver « l'homme cochon ». t par la suite la mort de Boris qui m'as beaucoup émus.
Je n'ai pas bien compris l'acte de Jules. Pourquoi a-t-il sauté du train ? Pourquoi n s'est-il pas tout simplement reposé ? Il se retrouve dans les conditions de la guerre alors qu'il en a été dispensé (pluie boue…)
J'ai beaucoup admiré l'acte de solidarité qu'a fait Ripoll, lorsqu'il a donné a Barboni son casque après que celui-ci l'ai lancé avec ses excréments à l'intérieur.
J'ai été étonné de l'acte de bravoure de Barboni, quoi que c'était plutôt un acte de folie, mais j'ai bien aimé le moment où Barboni sort de la tranché et s'empare du lance flamme des allemands pour ce sentir puissant mais aussi aider ses camarades.
Je relève cette citation car je l'ai trouvé intéressante page 143 « le sang nous est compté » lorsque Ripoll est sur le point de mourir après une lourde attaque des allemands, et que M'Bossolo le sauve (moment particulièrement touchant).
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