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Quelles images de du héros et de la guerre ce corpus nous propose-t’il?

Par   •  21 Avril 2018  •  1 842 Mots (8 Pages)  •  629 Vues

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c’est le cas, on encore une fois l’idée de réalisme.

Même si les textes évoqués précedement on la même focalisation, on a plusieurs registres différents.

Nous avons donc vu des auteurs qui utilisaient la vision de soldat pour faire passer leurs messages, cela est plutot agréable et plaisant, deux autres auteurs ont utilisé une facon différente, le chant ou la laisse, ce sont des chansons donc aussi agréable à lire. Ces oeuvres ne dénoncent pas vraiment la guerre. Elles sont du registre épique, donc valorise et glorifie le combat. Achille, (de L’Iliade de Homere) et Roland (de la Chanson de Roland) sont deux guerriers tous les deux amenés à combattre pour leur patrie. Içi, la guerre est une activité noble, qui sert au soldat de montrer leur force et leur bravour. On a une focalisation externe, ce qui nous rend seulement spectateur de l’histoire. D’un coté, Achille est dans une guerre opposant

les Grecques aux Troyens, il s’agit de la Guerre de Troie, de l’autre coté, Roland (chrétiens) combat les Païens. Tous deux ont un esprit guerrier, ce qui nous amène à notre deuxième partie : l’evolution de la notion d’héroïsme.

Dans ce second temps nous allons donc parler de l’évolution de la notion d’heroïsme. Au court des années, celle ci a beaucoup changé passant de l’esprit guerrier, à l’idéalisation de l’héroïsme et à l’anti-héroïsme. Tout d’abord, Achille, dans L’Iliade, est un soldat guerrier. Ce texte de registre epique, nous montre les exploits de ce héros, qui est ensuite comparé a un boeuf qui écrase de l’orge :”De même qu’on attelle des boeufs au large front pour fouler l’orge blanche” Il s’agit bien évidement de comparaison éxageré. Achille est brave, courageux et fort. C’est un violent soldat, mais il est frustré car il n’a pas tuer Hector, qui lui a tuer son meilleur ami. Il cherche la vengeance. Cette ardeur guerrière mène à l’admiration, à plusieurs reprise dans le texte Achille est comparé à un dieu, ce qui est encore une fois, une comparaison hyperbolique. Sur la même longueur d’onde, Roland, de la Chanson de Roland, est lui aussi un guerrier féroce et brave. Il refuse l’aise qu’on lui propose. On retrouve également ses exploits, mais malheureusement ceux ci, sont suivi de la chute : sa mort. Celle ci provoque des tremblements de terre, et la nuit devient plus obscure. C’est encore une fois une éxageration.

L’héroïsme dans ces deux textes est valorisé et glorifié, le héros est un grand guerrier, qui doit sauver sa patrie. L’esprit patriotique est la clef de la gloire d’un héros. Ceci nous amène au Voyage au bout de la nuit de Céline. Dans ce texte, Ferdinant dialogue avec sa maitresse, Lola. Il s’agit d’un dialogue qui oppose le patriotisme de Lola, et la lacheté de Ferdinant. Lola représente enfaite l’opinion de l’époque. Ferdinant lui, assume d’être lache. Cette lacheté vient de la peur qu’il a de la guerre, une peur d’ailleurs hyperbolique. Pour lui, la guerre équivaut à la mort. La dernière phrase de cette extrait est très forte :” Décidement, il lui était impossible d’admettre qu’un condamné à mort n’ait pas en même temps reçu la vocation” Cette phrase insinu que Lola ne comprend pas pourquoi un homme ne voudrai pas mourir à la guerre. On a un exemple d’anti-héroïsme, c’est un héro qui refuse l’héroïsme. Il affirme que la guerre est stupide, et imbécile. Ferdinant, et certe un personnage attachant comme Fabrice (du texte de Stendhal), mais est totalement différent. Ferdinant est traumatisé par la guerre, il a du vécu. Tandis que Fabrice, est émerveillé par le combat. Il a une idée idealisé de la guerre, et il remarque une grande différence entre ce qu’il avait imaginé et la réalité. On a accés à ses perceptions, à ses ressentis, on remarque qu’il est très surpris, et qu’il ne comprend rien. Il est plus spectateur que guerrier et acteur. Il donne l’impression d’être naïf, à cause de son incompréhention totale et de son idée d’héroïsme à la guerre totalement fausse. On a ici, certe la notion de héros mais pas de surhomme, il n’a pas de pouvoir comme Achille (qui est très fort) il a des faiblesses et des défauts. Cette notion d’héroïsme est particulièrement remise en cause ici, avec ce personnage. Giono parcontre lui, ne fait aucune allusion à l’héroïsme. Olivier n’est pas non plus vraiment un anti-héros. On entend jamais dans cette oeuvre une quelquonque éloge de l’héroïsme guerrier. A la place, les hommes sont de pauvres soldats sans réelle envie ni de combattre ni de partir, de simple pantins. Ils suivent les autres, comme un grand troupeau de moutons. On en reviens à Candide de Voltaire, qui ne voit que des animaux et non des humains. Candide est un héros qui au fur et à mesure du texte deviens un anti-heros. C’est une réalité qu’il ne comprend pas, et qui le rattrape. Contrairement à Achille et Roland, Candide va s’enfuir et essayer de se cacher, puisque sa force n’est pas dans ses bras mais dans ta tête,

étant un philosophe. Il est traumatisé, et à très peur de la guerre et du combat. Le héros dans La route des Flandres, a le même caractère que Candide. Il a très peur de la guerre. Il tombe de son cheval et n’ose plus se relever.

On peut donc conclure que la notion d’héroïsme peut totalement varié d’un auteur à l’autre, et que depuis 750 avant J-C les idées ont beaucoup changées. Beaucoup d’auteurs on aussi voulu dénoncer la guerre à travers leurs écrits, nous voyons ici qu’ils le font de differentes

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