Le transhumanisme par ses promoteur, Marine Lamoureux

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sujets de discorde mondiale. En effet, pour

François Berger, cette remise en cause de la condition humaine à établie une confusion entre ce qui est naturel comme le vieillissement ou la

mort, et ce qui relève de la maladie et des problèmes infectieux. De plus, le cerveau à un fonctionnement en adéquation avec le corps et notre

énergie. Si l’on cherche à augmenter ses fonctions, on risque de perturber durablement ce dernier. Ceci pourrait engendrer des pathologies, même

sur des personnes saines, ce qui seraient fortement problématique.

Les détracteurs de ce processus de robotisation de l’humain possède d’autres arguments à son encontre. Comme l’indique Jean Claude Michéa,

déjà que cette technologie pourrait endommager les fonctionnalités du cerveau, le transhumanisme pose aussi de nombreuses questions sur les

problèmes démographique, écologique ou encore économiquement qu’il en découlerait. Cette technologie étant très coûteuse, il serait très

probable que seule une élite de ce monde pourrait se permettre ces transplantations. Ainsi, alors que dans le monde actuel, les inégalités sont

innombrables, celle-ci en serait une autre qui toucherait l’aspect éthique et moral. Un ’’ caste ’’ d’humains riche, vivrait plus longtemps, quand

d’autres personnes biologiquement constitués continuerait de mourir de faim dans les pays sous développés.

Malgré ces enjeux, il y a des promoteurs qui y voient une évolution naturelle de l’homme. Comme si la technologie était la continuité de l’espèce

humaine. Autrefois autonome, l’humain se retrouve désormais aidé et assisté par cette avancée dans le progrès technique. Pour Marine

Lamoureux, le transhumanisme c’est une remise en question de la condition humaine dont les aspects indésirables se doit d’être combattus à l’aide

de cette technologie. Elle améliore le monde socialement avec les réseaux sociaux; économiquement avec le développement d’internet et des

échanges mondialisés ou encore politiquement. C’est en quelque sorte un techno-progrès : il faut améliorer les conditions sociale et biologique.

Ce projet est plébiscité par de puissant lobbyiste soutenu par de grandes firmes et de grande fortune. Il n’est donc pas impossible d’en entendre

parlé de manière plus soutenu à l’avenir.

Pour conclure, le progrès technique n’a cessé d’évoluer par l’action de l’homme dans la recherche. Cependant, il semble qu’aujourd’hui, celui-ci se

préoccupe désormais de son avenir et de sa pérennité sur la planète. Si pour certain le transhumanisme n’est que la suite programmé de

l’évolution de l’homme, il n’en reste pas moins critiqué par d’autres. Des problèmes d’éthique, de démographie terrestre, d’enjeux écologique et

économique majeurs sont à la clé de cette évolution. Au départ, pensé pour soulager des patients atteint par de graves maladie, il semblerait que

l’ambition d’une certaine élite modifie les objectifs de cette transplantation technologique sur le corps humain. Le tout reste cependant de réussir

à comprendre le fonctionnement du vieillissement du corps et de ses impacts sur notre santé. Pour chercher à terme, en notre génétique le sérum

pour ’’ l’immortalité ’’ humaine tant désiré.