Alice au pays des merveilles, Lewis Carroll.

...

- la Chenille qui lui donna un champignon qui l’a fit changer de taille,

- le Chat de Chester qui disparaissait et réapparaissait en un clin d’œil,

- le Chapelier,

- le Lièvre de Mars qui ne cessait de boire du thé,

- le Loir qui ne faisait que dormir,

- le Jeu de Cartes qui jouait au croquet avec des flamands roses et des hérissons,

- la Tortue Fantaisie qui dansait avec des homards et qui lui fit une démonstration de cette danse.

C’est également dans ce monde qu’elle fut accusée d’avoir mangé des tartes qui étaient sur une table au milieu de la salle d’audience.

Alice dut être jugée pour avoir mangé les tartes et, pendant son jugement, les Cartes s’envolèrent et elle entendit une voix qui disait : « Réveille-toi, Alice chérie. » Elle se réveilla et sa sœur lui dit alors qu’il était tard et qu’il fallait qu’elle vienne prendre un thé.

Mon avis :

J’ai bien aimé ce livre car il y avait des moments drôles, d’autres tristes mais surtout, ce n’est pas tous les jours que l’on voit un jeu de cartes vivant. J’ai été transportée par le livre et à certains moments j’avais l’impression d’être avec Alice.

Mon passage préféré : (chapitre 8 pages 94-95)

« Le Sept jeta son pinceau et commençait à dire : « De toutes les injustices… » quand il vit Alice qui les regardait sans bouger. Il s’interrompit aussitôt; les autres se retournèrent aussi et tous les trois s’inclinèrent profondément.

― Voudriez-vous me dire, dit Alice un peu timidement, pourquoi vous peignez ces roses ?

Le Cinq et le Sept ne dirent rien mais regardèrent le Deux. Ce dernier commença, à mi-voix :

― Eh bien ! le fait est, voyez-vous mam’selle, que ça aurait dû être un rosier rouge vu que nous avons planté ce rosier à fleurs blanches par erreur, et si la Reine s’en apercevait, nous nous ferions tous couper la tête, vous savez. Aussi, vous voyez mam’selle, nous faisons de notre mieux, avant qu’elle n’arrive, pour…

À ce moment-là, le Cinq, qui n’avait pas cessé de surveiller le jardin avec anxiété, cria :

― La Reine ! La Reine !

Les trois jardiniers se jetèrent instantanément à plat ventre. »