Thème : « Ce que manger veut dire » alimentation et identité nationale
Par Christopher • 5 Décembre 2018 • 1 912 Mots (8 Pages) • 670 Vues
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Une autre idée à retenir serait celle de l’enjeu économique, du marketing, c’est le coté commerciale que nous retrouvons encore une fois dans l’ensemble du corpus. Duma ajoute le coté positif en matière d’emploi. Toujours dans le coté positif économique parlons de l’importance du tourisme avec Dumas et Alexandre D.
Enfin n’oublions pas le coté négatif qui ressort avec Mongin et Lasserre contre la concurrence étrangère, les conflits d’intérêt, l’image de marque ou la qualité d’un produit.
1.6 – Tableau comparatif
Document 1
Document 2
Document 3
Document 4
Idée directrice
La cuisine en Belgique une identité nationale
La cuisine en France un patrimoine
La cuinise en Italie ne laisse pas la place à l’étrangère
Le terroir français face aux invasions etrangères
Thème 1
Plusieurs acteurs
Plusieurs acteurs
Plusieurs acteurs
Plusieurs acteurs
Thème 2
Grande varièté de produits et différenciation
Grande variété de produits, richesse naturelles, facilités de disposer des produits et idée du terroir
Diversité des plats et forte tradition
Le terroir
Thème 3
Apport positif de la rencontre avec d’autre culture
Échange et enrichissement
Pas de place pour l’étranger
Défense du terroir face à l’intrusion étrangère
Thème 4
Enjeu économique et commerciale
Enjeu économique et commerciale plus d’emploi et maché croissant
Effet négatif, protéger son économie
menace économique et commerciale, se défendre contre la concurrence étrangère
Thème 5
Le tourisme
Le tourisme
1.7- Plan de la synthèse
I-La construction d’une identité culinaire
1- plusieurs acteurs
2-diversité des produits et idée du terroir
3-la nécessité de l’échange
II- Les conséquences de cette constructions
1- des apports économique et commerciale
2-l’apport positif du tourisme
3-défendre son territoire contre la concurrence étrangères
Partie 2 : Rédaction de la synthèse
La construction d’une identité alimentaire nécessite différents outils.
Commençons par les individus qui batissent cette carte d’identité alimentaire d’un pays. Alexandre D. comme Dumas le mentionne explicitement à l’origine il y des hommes qui possédent un savoir et un savoir faire. Dumas donne l’exemple d’ Auguste Escoffier pour parler des grands chefs de la cuisine française. Les journalistes tout comme les écrivains mais aussi les restaurateurs, tout l’éventail des commerciaux et les clients en sont des piliers mais participent aussi les agriculteurs montrés avec Lasserre ou encore les politiques comme le maire prenant défense pour sa ville ou plus positivement la mise en place de label comme le AOC.
Ensuite parlons des produits et à ce niveau tous les documents mentionnent la richesse et la variété des produits dans le patrimoine culinaire, Dumas passe en revue un nombre impressionant des différents produits français dont certaines classes sont très variès comme l’exemple du fromage où en France il en existe plus de 1000. La richesse aussi des produits faciles à se les procurer grâce au marché de Rungis. Pour Alexandre D. il suffit de se différencier en ajoutant à une recette un élément spécifique appartenant à une région, tel le bœuf bourguignon avec la bière de Belgique. Eve mongin évoque également cette variété autour des plats en Italie. Enfin a plusieurs reprise nous pouvons relevé la notion de terroir ce savoir -faire jalousement gardé et défendu qui faitla spécificité d’un produits et Yves Lasserre le visualise fortement.
Enfin, l’identité alimentaire se construit grâce au regard porté par les autres et l’échange tout comme l’influence des étrangers. Certaines recettes subissent des transformations, d’autres sont mises à jour ou « revisiter », Alexandre D. comme Dumas soulignent cette échange positive et même en Italie le couscous est resté marquant l’influence des arabes en terre espagnole.
Nous avons pu voir que c’est un ensemble d’ingrédients qui participent à la construction de l’identité alimentaire, voyons alors qu’elles en sont les conséquences.
Les retombées économiques et commerciales sont omniprésentes dans l’ensemble des documents. Alexandre D. précise que l’essentiel est de vendre, pour cela il parle de la stratégie de différenciation, Dumas marque bien la richesse des métiers de bouche, le dynamisme de ce secteur, toutes les opportunités à saisir qui passent aussi par la défense du terroir et la spécificité des différents produits, les appelations d’origine controlées, la haute gastronomie française comme certains produits qui sont présents à l’international. Elle souligne aussi la croissance du marché dont bénéficie tout le secteur qui permet de maintenir et perdurer l’identité nationale. Enfin en matière d’emploi on compte 50 000 personnes et 40 000 apprentis.
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