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On ne badine pas avec l'amour, Musset

Par   •  11 Septembre 2018  •  1 577 Mots (7 Pages)  •  489 Vues

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Biographie :

Samuel Beckett né le 13 avril 1906 à Paris, et décédé le 22 décembre 1989. Est un écrivain, poète et dramaturge irlandais d’expression française et anglaise, prix Nobel de littérature. Ses pièces de théâtre connaissent un grand succès dans les années 60, ce qui l’amène à énormément voyager à travers le monde, pour assister aux représentations mais aussi mettre en scène.

Œuvres principales :

-1952 : En attendant Godot

-1957 : Fin de partie

-1960 : Oh les beaux jours

-La trilogie : Molloy, Malone meurt, L’innommable

Le roi se meurt, Ionesco

Introduction :

Ce texte est tiré du « roi se meurt » d’Eugène Ionesco est une parodie crée par la reprise de thème et de personnage tragique, publiée en 1962. Ionesco dans cette pièce invite à réfléchir, le spectateur sur lui-même et sur son éventuel réaction à l’annonce de sa mort. Le tragique et le comique sont liés. L’absurde est un décalage entre l’attente de l’homme et l’expérience qu’il fait du monde. Cette pièce de théâtre est tragique du mouvement absurde de Ionesco. Une scène d’exposition doit donner tous les éléments nécessaires à la bonne compréhension de l’intrigue, précisé l’identité des personnages et les liens qui les unissent, leurs rapports : c’est ce que fait Ionesco, il suit les caractéristiques d’une scène d’exposition.

Conclusion :

Ainsi, l’examen du texte a permis de montrer que cet extrait à l’apparence d’une tragédie mettant en scène la mort et la déchéance d’un homme, regorge également d’éléments de comique par ses éléments d’absurdes et de dérision. Ces éléments décalés perdurent pendant toute la pièce. On s’apercevra finalement qu’ils ont un sens symbolique et philosophique : c’est celle d’un écroulement de l’univers pour un homme qui va mourir.

Biographie :

Eugène Ionesco est né en novembre 1909 en Roumanie. Sa première pièce, « La cantatrice Chauve » est créée en 1950. La pièce est accueillie froidement et déroute la critique conservatrice. Représentant majeur du théâtre de l’absurde en France. En 1970, Ionesco est reçu à l’académie française et écrit en 1972, « Macbett, une de ses dernières pièces.

Œuvres principales :

-1950 : La Cantatrice chauve

-1951 : La leçon

-1952 : Les chaises

-1962 : Le roi se meurt

Marie vous avez la joue

Introduction :

Ronsard a composé le recueil les Amours – dont le sonnet Marie, vous avez la joue fait partis– entre 1552 et 1560, c'est à dire en plein épanouissement de la Renaissance.. Nous allons examiner, dans ce poème, comment Ronsard fait l'éloge de sa belle, en alternant les références mythologiques dans un discours plus noble et le champ lexical des sens dans un discours plus sensuel.Marie, vous avez la joue… est extrait des Amours. Le titre du recueil annonce bien le sujet : l'amour, et ici, l'amour de Marie. Nous nous plaçons donc avec ce poème dans la tradition de l'éloge amoureux, poème dans lequel l'auteur fait sa cour à sa belle, avec pour intention de la convaincre de son amour, et d'obtenir le sien en retour. Ce genre, très en vogue depuis le Moyen Age avec les trouvères et les troubadours. Nous allons étudier, dans ce poème, comment Ronsard fait l'éloge de sa belle et comment ce poème, avec des caractéristiques propres à Ronsard, se situe dans la tradition de l'éloge amoureux. Nous nous attacherons ensuite à montrer en quoi ce poème révèle aussi un autre regard, celui d'un peintre. Enfin, nous évoquerons les différentes stratégies du poète amoureux lorsqu'il veut convaincre et séduire.

Conclusion :

Nous nous plaçons donc avec ce poème dans la tradition de l'éloge amoureux, poème dans lequel l'auteur fait sa cour à sa belle, avec pour intention de la convaincre de son amour, et d'obtenir le sien en retour.

Ce genre, très en vogue depuis le Moyen Age avec les trouvères et les troubadours vient d'être rajeuni par Marot, avec le genre du blason, qui se consacre à décrire la belle par l'un de ses attributs : le "tétin", comme Marot lui-même, ou le "sourcil", chez Maurice Scève.

Mais ce poème n'est pas un blason, puisqu'il est un portrait plus complet, en buste, où nous avons vu se dessiner successivement le visage de Marie, puis son buste et ses bras, ses mains.

Il n'en reste pas moins un exemple typique de cette période de la Renaissance.

D'abord par ses références mythologiques qui témoignent du goût pour l'Antiquité, redécouverte à l'occasion des Guerres d'Italie.

Ensuite, par l'expression charmante de la sensualité, non bridée comme elle le fut pendant le Moyen Age, sensualité qui s'exprime à travers un vocabulaire et des images simples empruntées à la vie quotidienne française.

Enfin, parce que la démarche adoptée par le poète est celle d'un peintre, et l'on sait que les Rois de France ont ramené d'Italie de nombreux artistes comme par exemple Léonard de Vinci.

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