Mondialisation

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pays producteurs ont décidé de multiplier le prix du pétrole. Comme une demande de matières premières est resté et ces pays ont reçu d’énormes quantités d’argent déposé dans les banques occidentales. Cette circonstance a été décisif dans le début du problème, qui est la façon dont il a été l’origine de la dette extérieure

· Il est juste le commerce «globalisé» dans lequel nous vivons?

Bien gérée et a le potentiel de sortir des millions de personnes de la pauvreté. Toutefois, l’accroissement des échanges ne sont pas une garantie automatique qui permettra de réduire la pauvreté. L’expérience des pays en développement montre l’écart entre les énormes avantages potentiels du commerce, d’une part, et les résultats décevants.

Le commerce ne peut réaliser leur potentiel si les pays riches et pauvres se ressemblent action pour redistribuer les opportunités en faveur des pauvres. Pour cette action au niveau national, de nouvelles formes de coopération internationale, et une nouvelle architecture de la gouvernance mondiale à l’OMC, il est nécessaire.

Le défi d’étendre la possibilité au niveau national va au-delà des limites étroites de la politique commerciale. Les inégalités dans les services de santé et d’éducation, et l’accès aux biens, sont un formidable outil pour assurer que les marchés fonctionnent pour les pauvres obstacle. Le manque d’accès à la terre, des infrastructures de commercialisation, et des ressources financières, rend les pauvres sont souvent moins bien équipés pour tirer parti des opportunités offertes par le marché, et sont plus vulnérables à la concurrence des importations.

Dans de nombreux pays, une vaste corruption et la bureaucratie excessive agissent comme une taxe sur le commerce, et la taxe pèse le plus lourdement sur les pauvres.

Pourquoi la mondialisation est rejetée?

la mondialisation est rejetée par les pays en développement parce que tout le monde convient que les pays les plus pauvres sont d’éliminer le fardeau de la dette. Mais les pays riches ont pas encore fait suffisamment de ressources pour le faire. Du point de vue de psises développés, nous pouvons voir qu’ils ne rejettent pas la mondialisation parce que les avantages de la mondialisation sont évidents: une croissance plus rapide, le niveau de vie, de nouvelles opportunités. Cependant, un retour de bâton a commencé. Pourquoi? Parce que les avantages sont très inégalement réparties, le marché mondial n’a pas stabilisé avec des règles basées sur des objectifs sociaux communs, et que si les pauvres de suivre le chemin qui a amené la prospérité à la riche aujourd’hui, bientôt, tout le monde Les ressources de la Terre sont épuisées. Par conséquent, le défi que nous devons relever aujourd’hui est de faire en sorte que la mondialisation devienne une force positive pour tous et de prévenir des millions de personnes démunies gauche.

Si la mondialisation est de nous donner le meilleur, nous devons apprendre à mieux aux niveaux local, national et international gouverner unie.

Il ya beaucoup de choses que les nations pauvres peuvent faire pour aider; mais les pays riches ont un rôle indispensable à jouer en ouvrant leurs marchés aux produits qu’ils offrent et de permettre aux pays pauvres d’inonder le marché mondial avec des produits alimentaires subventionnés, ce qui rend impossible la concurrence des agriculteurs dans les pays pauvres.

Les pays riches ne peuvent pas attendre des pays en développement pour entendre leurs appels de soins de l’environnement mondial, jusqu’à ce qu’ils soient prêts à modifier leurs habitudes irresponsables de production et de consommation. Dans les pays en développement, ils doivent être autorisés à exporter sa méthode d’acquisition de la prospérité.

certaines personnes rejettent la mondialisation parce qu’il ya des aspects qui nous dérangent, comme le pouvoir négligeable exercée par le gouvernement sur l’économie.

Nous croyons que la mondialisation ne sont pas tout à fait juste pour les pays pauvres: avec sa société, sa culture, sa biodiversité ...

Nous croyons que le commerce et le gouvernement devrait engager et mieux organisé pour mener une mondialisation, disons, plus solidaire.

Nous estimons qu’il convient d’arrêter les entreprises multinationales à apporter leurs pays pauvres pour les exploiter et ainsi obtenir un profit